Le roi des casinos clandestins au Brésil

Le roi des casinos clandestins au Brésil

Préface

Les casinos clandestins probablement apparu au Brésil à la fin des annès 80 à travers du chef mafieu italien Thomazzo Buschetta, chef de la mafia italianne et devient une légende urbaine que persisteà São Paulo en quelque part en ville. Un établissement illégal qui diverte gens riches, politiques corrompus, l´elite sociale, des gens programables, rien de plus que jeux, prostitution, trafique de drogues et blanchement de l´argent. Une histoire de comment fonctionne ces usines à rêves qu´ont leurs secrets pour vendre toujours l´adrénaline à ceux qui viennent  tenter leur chance. Selon presque la média, comme tous les contes de fées, l´histoire devient plus complexe avec finale tragique… Catastrophique. Un roman à la limite de l’ éroticoporno à Maria Cécile splendide créature de rêve dont la sphère érotique d’un diamètre dépassant de loin les limites conventionnelles entraîne une érection possessive chez tous les mâles… Une histoire sur la personnalité spéciale d´une belle blonde comparable à celle d’une plante carnivore qui ne prend son entier plaisir qu’après avoir vidé ses victimes de leur substance intime et les avoir de ce fait réduites à l’état de zombies. Elle attirait les hommes commela mort aux rats. Fille unique elle vivait confortablement en dépensant sans compter le magot dont elle avait hérité de son père, ex entrepreneur de la haute société.

Un

Une lumière vacillante parmi des millions d’ autres, voilà cette destinée que chacun d´ eux est censé porter, ou même accueillie; une flamme vacillante, mais insistante aussi parfois. Des lumières complètement éclatées par la diffraction aquatique. Un paysage urbain infini, constellé et mouvant dans une atmosphère saturée de vapeurs humides et de bourrasques pluvieuses. Une vision de la ville que plue tout le temps était trop romantique, comme le reste. L´Effervescence de la ville que faisait vibrer. São Paulo  regourgeait de belles femmes et de types qui semblaient connaître  toutes les ficelles de la ville. Il y a quelque chose de plus profond. C´ était une métaphore de la décadence de la culture contemporaine. Ce manque d´ intégrité qui faisait fuir certains… À se transformer la ville des rêves prohibés  à survivre dans une societé  désensibilisée et adresse par la drogue, prostituition, jeux clandestins, crimes, rencontre homo, sexe, le bruit de la libertinage  et du peché, la saleté et etc… Les femmes de la nuit n´ est pas composé de justes et injustes comme le font croire les philosophes, mais de maîtres et esclaves, Un ambiance perverti, deguisé. Il pensait qu´ elle avait echangé de paradis contre les lendemains qui chantent. En fait il y a la naissance le grand trou noir de la fin, et au milieu, la tragédie de la vie.

Les femmes toujours belles en des robes de soirée, des mafieux et du branchèment d´argent c´est le monde des casinos. Et, aujourd´hui  une industrie  de masse et de crimes. Un marché en ascension dans la clandestineté qu´avait explosé depuis de la prohibition. C´était le démon… Le démon du jeu. L´an dernier des joueurs ont depensé plus de 2 milliards 700 milliões d´euros dans les casinos clandestins au Brésil.

Ce matin là recettes avoisinent les 200 mil euros liquide tous les jours. Sous l´oeil des caméras les employés emporte les dernieres caisses vers la chambre forte du cassino.

Dans un cabinet d´avocats au centre de São Paulo. Pour être précise: Avenue Paulista.

– Entre. Quelle joie de vous revoir. Asseyez-vous. Vous avez l´air en pleine forme. Tu ne réponds pas à mes appels.

– Merci, vous aussi. Sans doute un signe qu´il faut que t´arrêtes de m´appeler. Je démissionne.

– Pour aller où? T´as fait des miracles au tribunal.

– Null part. Je prends ma retraite.

– Bon sang.

– Quand ça?

– Dans deux semaines. Je ne vous laisse tomber. Je finirai le dossier João Marcondes Fagundes des casinos clandestins. Un juge du suprême tribunal a assiné le habeas-corpus.Il a accepté un pot-de-vin de 800.000 dollars.

– C´est pas génial ça? T´as réussi, mais unecensure vient de la prense. Elle nos accuse  de plusieurs crimes graves, corruption d´autorités et évasionfiscale.

– Rien à foutre de la prense.C´est une farse. Ses preuves sont fragiles. C´est bien l´essence de la cabinet.

– Super, Mary Thérese.

– Vous devez résister sans peur, c´est bien l´essence de ce cabinet.

– Tu sais que le plus grosse affaire du cabinet c´est la libertéprovisoire du proprietaire des Casinos Clandestins. Une affaire de 400.000 dollars. Canalise votre obesesion.

– On est huit avocats. Je suis prête à vivre ma vie. Écrire mes mémoires, respirer.

– Félicitaions, Mary Thérese.

– Merci, João.On se reverra au tribunal.

Mais l´été tout changeait. Les touristes venaient. Les residences secondaires ouvraient leur fenêtres et surtout de nouveaux visages apparaissaient. En fin de mois, la nuit venait recouvrir São Paulo. Une barre sombé orlée d´or dessinait l´horozont. João Marcondes Fagundes avait continué à profiter du beau temps dans les rues de la ville. Il se ballade dans le centre ville. La journée est belle et c´est un plaisir vagabonder dans les vieilles ruelles et remonter en direction du rien. Les rues agitées, la foule où se mêlaient marchands et étudiants lui firent de l´effet. Il avait croisé justement une troupe d´étudiants bruyants.

Les terrasses des restaurants et des cafés sont remplies, les gens déambulent dans les rues. Tous semblent heureux de profiter du beau temps. Il arrive au parc et profite un moment de la vue offerte. Il regardait les jolies femmes qui commençaient à porter des robes et des chemisiers légers, parfois il en suivait une, il humait son parfum, il caressait du regard les courbes de ses jambes ou la naissance de ses seins, ses bras tendres. Il les trouvait belles, attirantes, mais rien ne se produisait dans son pantalon. Il restait en lui des souvenirs du désir  physique, des traces, des réflexes, mais le désir lui-même l’ avait quitté.Il était une fois un homme à la recherche de son destin. Sa vie était insipide et monotone, il lui fallait un but. Son avenir étant obscure, il souhaitait découvrir une lumière pouvant éclaircir son futur, mais maintenant il savait qu´ il voulait… Il est attiré par les affaires. Concilier l’ amour  avec les affaires, n’ est pas toujours possible, mais des séducteurs  parviennent à attirer ceux qui ont la fortune.Les riches  ont besoin d’ aimer et  d’ être aidés pour leurs affaires.

La soirée ne sera peut-être pas aussi perdue que ça, après tout. Il avait poursuivi quelque chose ou quelqu’un qui l’a amené dans ces contrées brûlantes et il ne sait plus pourquoi. Il ne se souvient plus comment il avait troqué sa vie d’un homme riche et satisfait pour cette vie d’errance…Concernant sa vieamoureuse. C´était un véritable désert affectif la plupart de ses amis étaient bien loin de ce qu´il attendait d´ un de ses amis étaient bien loin de ce qu´il attendait d´ une femme.

Quand il avait 18 ans, il n´avait plus d´amis. Tous les autres étudiants sortaient en bande, couchaient avec des filles, se saoûlaient, se droguaient, partaient en week-end. Il lui semblait alors que la voie vers profonde de la vie passait par le mélange des fluides corporels entre un homme et une femme. L´Osmose  physique ne pouvait manquer de conduire vers la felicité. Il avait lu Kant, Voltaire, Rousseau et Diderot, mais il ne savait toujours pas où aller. C’est après l’ adolescence qu´ il avait  compri ce qu´ il  pouvait tirer de son ingéniosité pour assouvir le fantasme  de sa sexualité. Un fantasme vivant, comme si ses rêves de voyeur  étaient devenus réalité. Comme tout mec qui se respecte, en fait presque tous.

Maria Cécile est une belle femme blonde aux yeux clairs et à la peau soie. Du bonheur qui devient lourd de l´anxieté.  De mauvais pressentiments… C´est un cyrcle. Une fatalité. Ce n´est point pas vanité, Encore moins par modestie qu´elle expose au grand jour. Les rôles divers qui elle a joues pendant sa jeneusse. Son principal but est le sexe. Cela la mettait dans agitation insupportable. Un feu dévorant la consumait. Elle était hors de soi-même. Une infime partie où se melent partage et sensibilité. Du bonheur que devient lorsque il avait vu le film La Belle Noiseuse, dans lequel Emmanuelle Béart  posait nue, il n’ avait pas ressenti d’émotionsexuelle  pour cette très belle femme, tout juste de l’ érotisme, car c’est la réalisation de l’œuvre d’art et le travail de l’artiste qui est mis en relief, plus que le sex-appeal de la femme.

– Plus vale une pute en Paris qu´une bourgeoise au Paraguay, pensait-elle.

Elle vit à São Paulo dans une ample maison dans le Morumbi. Un quartier nobre près du palais du gouvernement paulista. Elle est calme et sereine, mais avec un tempérament de feu. Elle désirait mener une vie très sophistiquée donc les moyens de l´emmener dans les endroits chics. Toujours habillée Christian Dior, Paco Rabanne, Maison Chanel, lingerie Victorie du Sicrit et autres…Le cerveau est tellement compliqué chez l’ homme  qu’ il peut trouver partout du plaisir ou de l’ inquiétude. Préfère les plaisirs peu dangereux. Sa vie n’ en a pas été véritablement perturbée. Sa mécanique sexuelle a parfaitement fonctionné, mais sans qu´ elle aime  véritablement ces hommes pour que son cerveau en ait été marqué comme par son futur mari. Elle désirait mener une vie très sophistiqué, donc les moyens de l´emmener dans les endroits chics. Toujours habillée Christian Dior, Paco Rabanne, Maison Chanel. Lingerie Victorie & Secret et des sacs Louis Vuitton et autres. Les théâtres sont également des lieux d´exhibition extraordinaires. Installée au premier rang devant la scène, elle expose a petite chatte bien épilée au regard des acteurs! La laissant commander par son sexe et son goût pour la luxure. Elle écarte les cuisses à la moindre solicitation au restau ou sur l´autoroute, de préférence lorsqu´elle double un camion. Elle baise dans la nuit dans les bosquets des jardins publics, en bordure de chaussée par les phares de chaque voiture qui passe. Ses yeux d´exhibition dans la vraie vie font donc écho à des fantasmes et se prolongent aussi dans la sphère virtuelle. Maria Cécile était comme une chatte en chaleur qui voulait se frotter contre quelque chose.

Cependant en ce qui concerne l´amour, il aurait été difficile de trouver des points de vue plus opposés. La blonde ne tolerait pas la douleur et ne trouvait aucun plaisir dans le conflit. Elle était réaliste. Elle recherchait surtout la sexualité chez hommes. Et s´était resignée à prendre des risques sentimentaux. Si quelqu´un lui demandiez la méthode pour mettre des risques de ses aventures… Elle savait précisement ce qu´ elle ne désirait pas. Un homme d´affaire n´avait jamais été heureux en amour, brillant, dynamique, était  invariablement entouré de sa cour. Toutes les femmes qu´il fréquentait inventaient toujours de pretextes pour ne pas consommer leur relation. Hélas pour lui, les pretextes les moins originaux se succédaient. Il ne pouvait de penser… Que sa chance s´apprêtait à tourner.

L´entrepreneur estun homme d´affairs savait qu’époux cocu sont deux mots synonymes, la dépravation des mœurs, le luxe… Tant de choses font choix une femme. Une très jolie personne, il veut la faire. João Marcondesfagundes, mafieu, un monstre impitoyable, il avait toujours pensé que la fin justifiait les moyens, déjà sur le retour imagina de se marier quoiqu’ il eût vécu sans femme jusque l´ homme déjà sur le retour imagina de se marier quoiqu’il eût vécu sans femmejusqu’alors, et ce qu’il fit peut-être de plus maladroit d’après ses sentiments ce fut… Il ne voulait plus qu’ au succès d’une aventure qui va lui assurer de si jolis moments. Il tutoyait presque toutes ses connaissances, des vieillards de soixante ans, des jeunes gens de vingt, des acteurs, des ministres, des marchands, des généraux, tous ceux avec lesquels il prenait du champagne. Les tendances libérales lui devinrent ainsi une habitude; il aimait son journal comme son cigare après dîner, pour le plaisir de sentir un léger brouillard envelopper son cerveau.

Le printemps, c’ est l’ époque des projets et des plans. João, en sortant, ne savait pas plus ce qu’ il allait d’ abord entreprendre que l’ arbre ne devinait comment et dans quel sens…Un séducteur, il les fait toutes craquer…  Personne ne peut intervenir. Il savait qu’ époux et cocu sont deux mots synonymes, la dépravation des mœurs, le luxe… Tant de choses font choix une femme. une très jolie personne, il veut la faire. João Marcondes fagundes déjà sur le retour imagina de se marier quoiqu’ il eût vécu sans femme jusque l´ homme déjà sur le retour imagina de se marier quoiqu’ un séducteur, jusqu’alors, et ce qu’il fit peut-être de plus maladroit d’ après ses sentiments ce fut… Il ne voulait plus qu’ au succès d’ une aventure qui va lui assurer de si jolis moments. Alors, et ce MariaCécile était jolie, âgée de trente ans, le plus beau corps possible. Dix ans auparavant un autre avait épousé sans conviction.

Comme tous les matins, Maria Cécile se leva tel un robot,  une routine qui lui plaisiait bien. Tout était prêt de la veille: La cafetière était programmée, sa tenue était déjà choisie et son petit déjeuner n´attendait qu´à être dégusté. Tout ceci faisait partie de son train-train quotidien. Dès la deuxième sonnerie du cadran, elle sautait du lit et marchait en direction de la salle de bain en laissant tomber sa culotte au sol. Puis, assise dans la douche, elle se laissait réveiller par l´eau chaude. Ce matin-là, elle avait fait la veille, non sans regretter de s´être couchée aussi tard. Une fois réveillée, elle coupa l´eau et sortit de la baignoire. Elle attrapa sa serviette au passage et la noua autour d´elle. Du coup. Elle frissonna. Pas de doute, cette journée promettait d´être froide. Sentant l´odeur du café qui s´était répandu dans tout l´appartement. Elle s´en servit une tasse, ajouta un peu de lait et alla s´installer devant la télévision juste à temps pour entendre le présentateur annoncer qu´il faisait 18°C sur São Paulo.

Sans hâte le soleil émergeait de derrière les grands arbres, embrasant la cime des peupliers de reflets mordorés et la surface lisse des eaux d´une rivière d’une couverture argentée. Une légère brise secouait les feuilles dans une douce symphonie murmurante et tourbillonnante, mélange de frottements aériens, de chuchotements assourdis, de plaintes étouffées… Il était 11:00h  du matin. Le temps était splendide; la vue de ces maisons gaies et proprettes, entourées de petits jardins, des servantes allemandes  à l’ouvrage, avec leurs bras rouges et leurs figures bien nourries, le soleil resplendissant, tout réjouissait  le cœur.

Maria Cécile se retrouve entourée d´abres dans une fôret qu´elle reconnaît immédiatement. Elle était née dans ce lieu, mais ses parents sont morts. Mais cette dignité était transmise de nom à la famille. Empoisonné , meurtre,  suicide  et folie faisaient parties de son passé…

Elle sort alors de la voiture et fait quelques pas pour se trouver face à une grille noire. Elle est là, dans ce lieu maudit… Face à cette propriété qui a failli prendre sa vie, 10 ans auparavant. Derrière cette grille, une immense demeure, différente de la précédente certes, mais toutde même abandonnée. La maison de ses parents était extraordinaire magnifique, majesteux. Une véritable ouvre d´ art que personne n´ était plus capable de faire aujourd´hui. La maison était une identité, avait été célebre dans toute la region. Elle est ici, son cachemar renaît.

Maria Cécile, une de ses conquêtes nantie de superbes jambes minces et fuselées mises en valeur par des escarpins à talons hauts. Ex étudiante de architeture. Elle avait tapiné dans les bars des hôtels minimum quatre étoiles, clubs nocturnes et maisons de jeux, elle avait décidé de changer de mode de vie. Alors, séparée d’un mari plat et ennuyeux, elle était venue de l´interieur chercher fortune à São Paulo, et n’ avait pas été longtemps à la trouver.

En São Paulo elle allait cherché un appartement de luxe à louer. L´agent immobilier allait lui montrer l´immeuble.

– Bonjour Maria Cécile. Desolé de ne pas vous avoir ouvert la porte.

– Bonjour Sergio.

– Désolée pour ce retard. Desolée de vous avoir fait attendre, J´ai eu un petit contretemps en chemin. Je ne m´habituerai jamais au trafic du centre-ville.

– Je vous montre l´appartement.

– Oui, bien sûr.

– Ici, c´est la cuisine absolument fantastique.

– J´adore la vue.

– Oui, cet appartement est très clair. Il est absolument charmant. J´adore le quartier. Même si les journées sont chaudes.

– Les nuits sont toujours fraîches. Que faites-vous dans ta vie, Maria Cécile?

– Je suis une Escorte de luxe.

– Quoi?

– Une femme que baise, suce, s´encule par 2.000 dollars.

– Comment t´es belle. Mais très chère.Une professionnelle dusexe de luxe.Je n´ai pas l´habitude. Chaqun est chaqun. T´as fait des choix.

– Contentez-vous d´être vous-même.

– Je vais tenter.

– Plus au moins… Quelle étrange baignoire, J´aime les baignoires. J´ai plein de truc à faire ici.

– Cette pièce est adaptée à lecture, non ?

– La lecture? Oui, c´est vrai.

– Je… Je ne pensais pas que ça irait si vite.

– Je pensais que vous seriez contente.

– Je le suis. Un miracle pour mes nerfs. Je suis ravie, merci.

– Vous pouvez emménager la semaine prochaine.

– D´accord… Ça me va.

– Parfait.

– Merci.

– Pas de quoi.

Deux

Maria Cécile se regardait dans le miroir, portant une robe curte très sensuelle qu’elle ne quittait plus, même en sa présence.Il remarqua pour la première fois ses seins surprenantsqui débordaient de la robe.Enfoncé dans l’ombre, installé nonchalamment dans un large fauteuil, il attend. Il attend avec malice que la belle blonde lui donne ce qu’elle a de plus intime.

Elle avait appris à survivre et à se réinventer. La blonde savait qu´elle devrait réinventer sa vie et son identité. La belle aspirait un avenir un peu plus brillant. Elle savait qu´il fallait avoir une vision du futur. Une femme intelligente que se sentait les gens et les situations. Elle savait vivre avec passion et avec style.

Au gré des envies de cette belle garce qui avait en tête de mener la belle vie tant qu’il serait en mesure de régler et la chambre d’ hôtel cinq étoiles, et les repas fins dans les grands restaurants… Une femme qu´aime gagner bisoux de griffes fameuses. Surtout les boîtes de la mode… Et ses doses de sexe. Maria Cécile avait une allure superbe quand elle déambulait sur le trottoir des grands boulevards, lieu de drague préféré d´elle.

Un paysage  urbain  infini, constellé et mouvant dans une atmosphère  saturée de vapeurs humides et de bourrasques  pluvieuses, Quand elle avait entré dans un de ses casinos et immédiatement gagné son coeur. Mais il savait qu´une femme comme la belle blonde coûte très cher. Dans le salon pricipal elle circulait ccomme une reine avec une petite robe qui descend jusqu´à mi-cuisse avec un dos nu très profond jusqu´au bas des reins, interdisant le port de tout soutient-gorge. Elle était belle, tendre avec ses clients, et d’une efficacité diabolique.João Fernandes quand il croisait une fille ou une femme, son premier regard se portait sur ses jambes, des chevilles aux genoux et au dessus si la fille portait une minirobe. Si cet examen lui donnait des frissons de désir dans les reins, il s’arrêtait au niveau du sexe jamais plus haut. Ce qui lui importait chez une femme se cantonnait dans la partie basse en dessous de la ceinture, peu importe son âge et sa couleur, il s’en foutait. Il était comme ça, João Marcondes. Pour lui, partant du principe que la féminité commence par la beauté des jambes, leur galbe, le grain et la teinte de leur peau, leur luminosité, les femmes en pantalon restaient des êtres asexués auxquels il ne prêtait aucune attention. La belle blonde Maria Cécile…

La belle blonde  en sortit, elle se hâta de verroiller les portes et descendit la grande rue avec son sourire enjôler, ses yeux de braise, qu´ elle  avait certes du succès après de la gent masculin.

L’ entrée du casino est une grande porte métallique noire, avec juste un petit encart sur le côté qui confirme qu´elle est bien arrivée. Elle était là aussi brillante. Après un temps que lui semble infini, le judas s´ ouvre, puis un oeil inquisiteur les scrute quelques instants. Enfin dans un grincements aigu, la porte s´ ouvre doucement. La petite brise s’était faite un peu plus insistante mais elle se sentait bien dans sa nouvelle armure et ne se privait pas d’ afficher sa satisfaction. Le vent balayait légèrement ses longs cheveux fins.. « Ça y est », Dans l’antre du vice.  Elle relève sa croupe pour jouer avec ses fesses. Une paire d’escarpins ouverts si hauts que lorsqu’elle marche elle doit se déhancher de façon provocante. Tout y était.

Les mondains se mêlaient aux politiciens. Ce beau monde avec uns réputation florissantes. Ils étaient de plus en plus à l´aise parmi ces gens riches et célèbres. La soirée se déroule. Le destin est en réalité une association de hasards.

Quand il l’avait croisée la première fois dans son casino, son regard avait glissé sur des jambes impeccables sans aucune solution de continuité aux genoux pour l’arrêter, si bien qu’il s’était poursuivi au même rythme sans heurts jusqu’aux cheveux en passant par une poitrineappétissante et une frimousse à damner un saint. Il  la mate très intéressé pour elle. C´est trop. C´est l´ abandon total. Ses idées pouvent paraître bizarre, mais c´est la vérité. Une proie en vue.

Sa démarche est lente, celle un mannequin  qui défile. Des regards se posent sur elle. Elle est vraiment belle en mode provocation. Il pense que cet ensemble harmonieux a lourdement pesé dans son choix de l’épouse idéale. Un endroit qu´avait l´essence de l´art est d´offrir une interaction permettant aux gens de ressentir des émotions dont ils ne soupçonnaient pas l´existence.

Qui aurait résiter à Maria Cécile. Le regard éblouit de João a fait le parcours inverse du haut vers le bas ce qui a confirmé sa première impression et il l’a suivie comme son ombre jusqu’à la toucher. Elle était là aussi brillante. Elle se sentit forte, décisive sûr d´elle-même et maîtresse de son destin. Mais son penchant c´ est le sexe.  L’  attirance mutuelle avait été immédiate. L’ impossibilité d’ y donner suite tout autant. Elle a un charm fou. La blonde irradiait une femme sublime.Il voit une pute de luxe en talons iguilles comme il avait toujours rêvé. Elle l’ encouragea d’un clignement d’ yeux. Elle le provoquait. Ils s´aiment sans savoir. Il avait reconnu parfumDior n°8et lui susurre  dans l’oreille:

– Madame, votre beauté irréelle attire comme un aimant l’homme que je suis.

– Qui est vous? Qu´est-ce que vous regardez?

– Oui, moi? Pour parler, Gens ne parlent plus. Je regarde ta beauté… Je vende rêves payables, Je suis le proprietaire du casino.

Lá… Tout a été combiné pour qu´il prenait votre l´argent. Voilà la vérité des jeux clandestins. Les seuls gagnants, c´est lui. Les joueurs n´ont aucune chance. Leur liquide coule à flots des tables de jeuxjusqu´`a ses caisses.: 21, Bacará, Pôker et Machines de fiches. C´est la routine. Une affaire que tourne. Dans les casinos tout le monde doit surveiller tout le monde.

– Je sais que tu m´a obervé quelque temps. J´ai envie de parler…

Il continuait…

– Parce que tu me plaît…

– Dans son casino on s´amusait.

– Je comprends, tu sais…

Après avoir longé un couloir, ils entrent dans un espace comprenant un bar, une vaste salle aménagée de canapés et une piste de danse sur laquelle sont diffusés des faisceaux multicolores. Les murs sont couverts d´ une moquette purpre. C´est beaucoup de technologie pour une sale de casino. Lá, un tas de gens sont installés aux tables. Il s´ approche du bar et  des visages se retournèrent sur son passage, mais se détournèrent bien rapidement.

– On s´ est déjà vu, non? …

– Je pense que non… C´ est la première fois que je viens ici. Je m´appelle Maria Cécile.

Les murs sont couverts d´une moquette purpre. C´est beaucoup de technologie pour une sale. C´est beaucoup de technologie pour une sale de casino.

– Enchanté, moi c´est João Marconndes. C´est moi… J´ai fis un pacte avec le diable. Tu fais quoi?

– Je suis architete mais, ça n´a rien à voir avec moi. Je te fais envie? Qu´est-ce que tu m´offris?

– Ben… T´es bien roulée. Une ville sur la côte, un tour du monde, un diamant…Tu es en vrai un « Fruit prohibé ». Tu es si belle, murmure t’ il. Je suis un homme chanceux. J’ aime ton corps gracieux. Ton corps fait me rappeler de ma condition   animale. Tes cheveux volumineux sur ton cou délicat. Ta peau dorée et sucrée, tes courbes se jouant des proportions, généreuses et fines là où il faut.Alors, parle-moi un peu de vous.

– Fantastique, Je sais ce que vous attendez de moi, je pensais que c´était reciproque. C´ est normal, mais T´es très occupé. Mais je crois que vous et moi, nous avons le même problème. Vous savez, certaines femmes ont gros besoins sexuels. Merci… D´ accord, mais je suis une femme nymphomane qu´aime varier de mecs…

– Vraiment?Je m´en rejouis d´avance.Tu t´ avais tombé du ciel…

L’ attirance est réciproque et très vite. Elle allait vivre une vie de rêve aux côté de João. Alors, il n´y a rien de reprenant à ce qu´elle se soit fortement attachée à lui très vite. Pourtant même si elle paraissait si heureuse ce n´était pas d´accord avec cette liaison pour la simple et bonne raison que João était milliardaire. João menait une double vie. Elle n´arrivait pas bien comprendre comment il gérait tous ça alors, elle a posé la question directement de comment il faisait pour passser du temps avec elle ouvertement il avait plusieurs casinos.

– Il n´y a pas grand-chose à dire. C´est mon petit secret, à vous de le découvrir. Je peux attendre encore un peu, mais soyons realiste, je vais faire mon mieux.

– Nous avons toujours été des incompris, pare que nous nous sommes laisser aller à une seule reprise, à une certaine légèreté.

– La légèreté est une tentation irrésistible parce qu´elle est aussi une perversion. Rien de bien original.

– T´es victime de ta propre apathie. J´ai pedue toutes mes fiches au « 49 ».

– J´ignore où que tu vivais, mais on va pouvoir se voir plus souvent. Vous avez besoin de quoi? Tu dois m´y prendre mal. Je pouvais peut-être faire quelque chose pour vous. On pourrait peut-être faire un jeu. Vous aimez les jeux?

– Longue histoire, Je t´en parlerais une autre fois. A quoi vous pensez? C´est l´argent? La monaie?

– Maintenant, oui. Je pourrais peut-être faire quelque chose pour vous?

– C´est vrai? Mais on peu arranger ça pour vous.

– Maintenant soyez sage. Je suis une femme que les maris sont contents de me voir arriver. Les femmes préfèrent me voir partis. Maria Cécile a une surprise pour vous.

– Oui, je sais. C´est bien de ma part.

Les apparences sont souvent trompeuses. Ça lui semble évident. Il lui donne 2.000 dollars à elle. Une main manucurée avec des ongles rouges vifs. Elle lui remercia en rougissant légèrement et son doux sourire lui fit fondre. Mais entre João et Maria Cécile, frappés par le même coup de foudre dès leur premier regard s´était tissé comme un cocon invisible mais élastique que les rapprochait l´une ou de l´autre.

– C´est sympa de vouloir m´aider. Desolée de chasser l´ambiance, mais il faut que j´y aille.

– Comment ça? Tu n´as pas envie de continuer?

– C´était vraiment sympa de te rencontrer.

– Tu ne peux pas rester un peu? Nou pourrions être comme chiens et chats qui dorment ensemble.

– Merde. J´ai un truc à faire, je suis en retard. Je dois vraiment aller.

Alors, le suffisant pour lui baiser en pleine bouche. Maria Cécile doit prendre sa place dans le monde, comme elle disait toujours. Elle reste debout et allait sortir du casino. João Marcondes complètement impressionné d´elle l´observe de près ses mouvements quand elle se dirige vers la sortie. La belle blonde, peut-être dangereuse, fatale. Elle savait le code. Arroser tous le monde: les croupers, les gardes et les voituriers avec un billet de cent dollars.

Il n´a pas jamais de license pour fonctionner ses casinos. Les jeux de casinos sont prohibés au Brésil. Pas pour lui, Il a exploré casinos clandestines près de dix ans. Le jeu était dans son sang. Des politiciens défilent chaque semaine. Pour eux comme un sénateur aussi tout était gratis. Fallait en profiter. C´est un endroit à la mode des vicieux en jeus. Il était frequenté pour danceuses star du ciné, acteur de TV et etc…

Un semaine plus tard il était avec Maria Cécile dans un restaurant chic au centre de São Paulo. Elle aimait qu´il la désire, qu´il réclame sa presence plus que quelques heures par semaine, mais noutre cela, jamais il ne s´était prononcé dur leur relation. Son intérêt s´était toujours limité aux flautteries physiques. À croire que les sentiments réels, pour lui, étaient inexistents.

– Merci à avoir traversé la ville pour me rejoindre.

– Je t´on prie.

– Je m´ai dit que je n´allait pas eu de chance avec les hommes importants, mais après notre conversation dans le Casino, j´ai pensé qu´on devrait se voir.

– Excellent idée.

– En géneral les personnes mentent sur presque tout. Ce n´est pas son cas.

– Ni le tien.Notre rendez-vous se passait tellement bien. Tu n´as pas envie de continuer,

– Où est que tu m´émmènes?

– Un endroit sympa. Tu vas adorer.

– On est arrivé, dit-il un peu plus tard.

Le João Marcondes Fagundes lui confesse qu´il adorait le cinéma américain, Humphrey Bogart, la Monroe. Il avait une blouse comme le vieux Borsalino. Un peu d´imagination le devenu un vrai gangster.

– J´aime de vivre dangereusement.

Maria Cécile est une belle femme, blonde, épanouie dans sa vie professionnelle et personnelle, architecte, appreciée pour ses compétences. Elle s´était découverte des dons et un penchant pour l´exhibitionnisme et s´amusait à provoquer dans divers endroit publics en croisant très haut ses cuisses, ou en simulant de ramasser quelque chose pour dévoiler à tous les yeux bien placés, une vue érotique de son entrecuisse. Il était heureux de savoir que tous les hommes avaient envie de cette belle femelle. Mais que c´était lui qui avait le priivilège de la baiser. Pour le moment. Il fut d´emblé fasciné par la beauté et le charme naturel d´elle. Comme il est beau, fort, doux, tendre et attentionné et milliardaire. Elle accepta de se marier avec lui, immédiatement comme il veut… Il n´avait pas cessé de lui faire porter des cornes. Tous les après-midis, hormis de dimanche, jour du Seigneur, sous des prétextes fallacieux qu´elle entendait d´une oreille distraite sans vraiment l´ écouter, il arpentait de sa démarche chalopée les grands boulevards, le regard critique, les yeux rivés sur les jambes nues. Comme il était beau, fort, doux, tendre et attentionné milliardaire qu´elle accepta de se marier avec lui, immediatement,

Les chairs les plus fraîches et les plus appétissantes, toutes les formes moulées quoique un peu remplies, et qui joignait à tant d’ appas de la présence d’esprit, de la vivacité, et le goût le plus vif pour tous les plaisirs  que lui interdisaient les lois rigoureuses.  Elle se prêta le plus honnêtement du monde à la dépravation de son satyre.

Trois

Le lendemain d´une soirée mémorable, ils sont levés tard, le soleil brillait et le mercure affichait une température de 25ºC. Il entendit ses talons claquer sur le sol. Il l´admira un instant. La tentation était grande. Il résista un bon moment, puis…  Elle posait ensuite la tête contre le torse de son mari d’où émanaient de effluves de parfums de supermarchés ou de parfumeries grand luxe suivant la classe de la femme qui lui avait accordé ses faveurs et…. Vicieusement elle s’en délectait en remarquant que ces parfums étaient chaque jour différents donc ne portaient pas à conséquence, jusqu’au jour où…

– Un jeu est un jeu, n’est-ce pas? La vie est comme cela, mais elle nous réserve parfois de belles surprises.

– Nous avons été crées pour régner, mon amour. Nous sommes les conquérants. Nous sommes le sang pur, le mariage de l´acier et de la chair.  Tu m’excites tellement, lui dit-il la voix pleine d’exaltation.

Elle avait une façon especial de lui parler, de lui regarder. Maria Cécile pratique le libertinage depuis une dizaine d´années. Pour renforcer leur libido. Expérimentée, elle s´adaptait aux désirs de son mari.  Complices et modérés, ils inspirent confiance, ce qui permet de créer un climat de coopération. Maria Cécile a toujours été extrèmement vorace sur le plan sexuel. Elle ne s´en est jamais caché et il n´a eu à s´en plaindre, étant lui-même très vicieux de nature.

Marie Cécile pense au sexe quasiment en permanence. À ce niveau-là, on pourrait presque dire que c’est une maladie. En tout cas, c’est une obsession. À la moindre sollicitation, la moindre évocation un peu connotée, son cerveau décroche et elle éprouve les plus grandes difficultés à se contrôler. Elle se met alors à chercher n’importe quel moyen de donner satisfaction à toutes sortes de pulsions.

Dans d’ autres cas, c’est à une certaine femme seulement qu’ il a plaisir à infliger ce spectacle. Ainsi que tous les troubles de même nature, l’exhibitionnisme peut être considéré par lui comme l’exagération maniaque et la manifestation intempestive d’une impulsion normale. Maria Cécile se présenta en temps et en heure devant la belle villa bourgeoise de cette station balnéaire chic du litoral paulista. La villa était grande et belle, il y avait plein de fleurs, de belles pelouses, bien entretenue, probablement par un jardinierprofessionnel Antonio.

Un énorme black musclé et souriant. Les jours suivants, Cécile eu beaucoup de mal à oublier cette soirée, elle s’était même masturbée seule à plusieurs reprises en fantasmantsur le corps d’ Antonio…

– Quel grand lit! Je jamais eu un lit comme ça ! Dit-elle en s´allongeant dessus après avoir enlevé ses sandales en même temps que lui et ils sont pris dans les bras.

Ils s´embrassent tendrement et leur mains découvrent leurs corps.

– Le contrat de mariage est prêt et vous le signerez. Je suis le plus heureux des hommes. Nous sommes vraiment époux et épouse, maintenant, dit João.

Pure absoluesensuelle et perverse, une diablesse invoquée pour incarner le vice. Elle avait eu la dose d’ émotions pour la journée! Cette femme lui tourne la tête? Il ne sait pas ce qui l’ arrive. Il a besoin d’ elle, besoin de lui dire qu´il existe, et que ce soit un double de lui. Peu importe la couleur de ses cheveux. C´est un trouble profond qui s´empare de tout son corps. Ce besoin de frissons l´enveloppe tout entière, lui crispe les nerfs, lui gèle la raison. Cette femme lui tourne la tête? Il ne sait pas ce qui l´arrive.

Elle aimait ce jeu de séduction, aimait se sentir désirée, aimait la compagnie de cet homme qu´elle trouvait de plus en plus séduisant. Maria Cécile aimait cette clandestinité, elle se sentait revivre son adolescence à éprouver des premiers émois, et puis, tout le monde y trouvait son compte. João l´époux la trouvait plus détendue, plus épanouie, elle se livrait plus facilement à des jeux sexuels, mais dans sa tête, c´est Antonio qu´elle jouissait. C´est lui qu´elle pensait dans ces moments-là. Elle n´avait jamais véritablement accordé d´importance à la taille sexuelle de ses amants, et avait même gardé le mauvais souvenir d´un amanttrès membré, mais très brutal qui pensait que le simple fait d´avoir une grosse bite suffisait à faire jouir toutes les femmes. Antonio cumulait en fait tout l´atraction du parfait fantasme conscient ou inconscient de cette belle femme. De 30ans.Elle se sentait belle, confiante, énergique et était bien décidée à vivre pleinement cette aventure extra-conjugale, certinement unique dans son esprit. Dans le petit déjeuner João confessa à son épouse.

– Chérie! Je dois te confesser une chose. Comme bien des hommes, je fantasme sur ma condition de cocu. je suis programmé pour être cocu, tout simplement.Comme tous les hommes, je suis voyeur comme la plupart des jolies femmes. T´es une exhibitionniste.

–  Super.  Que voudriez-vous que je fasse? Tu veux qu´un bel homme bien mis me fasse la cour? João, vous êtes sûr que je peux vraiment faire ce que j’ ai envie? Tu sais… Je ne suis pas semblable à nulle autre.

– Oui Cécile, sûr. C´est cela qui m´amène. T es une femme insasissable.Allez-y, faites-vous du bien.

– J’ai envie de m’ amuser avec toi et le jardinier black… – Facile de dire. Je suis tellement excitée à l´idée. C´est quoi, t´amuser avec lui et toi.

– Tu pourrais te montrer sexy, par exemple l´ émoustiller un peu. Flirter avec lui, l´exciter quoi.

– T´aimerais qu´ils… Qu´il me… Qu´il me fasse des choses? C´est ça?

– Puis je veux sucer le sperme du black dans ta chatte. C´est mon vice. Je préfère quand même le goût du sperme…

– D´accord. On va faire plein de choses ensemble. Toutes sortes de trucs.

Le regardant avec un grand sourire tout en croisant ses longues jambes.

– Je suis très très impressionnée, João, avec son jardinièrAntonio,  souffla-t-elle dans son oreille avant d’en mordiller le lobe.

–  Je suis sûr que vous en crevez d’envie! Vous pouvez le visiter à ce soir dans sa chambre.

Le ciel  entier avait  été coulé dans un flacon d’ éther. C’ était la mi-septembre. Aucun nuage. Et pas un souffle. La canicule durait depuis deux semaines sur  Ouarzazate. La voûte était d’ un bleu profond, sidéral, aux reflets violets, parfois rouge mort, comme trempée  d’un jus de cœurs  qui ne battent  plus… C’était aussi un bleu immense, étiré, lourdement  suspendu, pourles uns d’ un calme de croyant,  pour  les  autres d’ une  patience  de  diable.  Un ciel si bleu qu’ il n’ avait eu besoin d’ aucun  franc soleil pour diffuser sous lui une chaleur  accablante, et  surtout  sèche, si sèche  que, dès  la fin de matinée, l’air se mettait  à vibrer  en  travers  des  sentiers ou des routes, montant  du sol en paravents  de  verre  opaque… Dans le banlieuse marginale Paulistane, entre les toxicos, les rats et les déchets. Cachés de la police. six bandits dans un rassemblement.

– J´ai une idée. Ça allait tomber comme une bombe dans le monde du crime, dit le leader.

– Jarbas! Dis-moi, c´est quoi ton plan?

– Je veux savoir qui se passe entre ses oreilles? Demand un des bandits.

– À mon avis, Jarbas, il se croit meilleur de vous, dit l´autre.

– Du calme! Nous allons ensemble, tous les six nos boulot.

– Que boulot. Tu choisi quoi?

– Un casino de jeux clandestin.

– Il nous faut un cible facile, une caisse. Peu de surveillance.

– Il foudra revoir des risques. Quel est cet adresse?

– Dans la zone Nord. Nous pouvons faire fortune avec un vrai affranchi.

– C´est très risqué. J´ai un peu de peur, mais on dans les mêmes draps, mais un casino… C´est très dangereux. La barman est armé.

– Ok… C´est le moment de prouver ton utilité. Les caméras de surveillance couvrent tout le quartier. Nous besoin de quelqu´un qu´a accès à toutes.

– J´ai connu un ami capable de pervertir le système. Je ferais l´affaire, fais-moi confiance. Ce n´est pas un problème. Un boulot, c´est un boulot.

Deux jours plus tard… Ils arrivaientphares éteints, sans feux stop. Il les rendait dingues sur l´échangeur. Plantés à chaque fois. J´ai déssiné tout un plan pendant qu´on piaillait la cible. Dans le bureau où était tout l´argent. On connaît le parcours grâces à un employé. Ils devront s´utiliser d´une Berline familiale qui se fond dans le trafic.

– C´est bon, on y va !

– Allez, bougez-vous.

Le chef se leva en repoussant sa chaise et s´adressa aux hommes présents.

– Messieurs, dit-il… Plus de questions? Non ! Répondirent-ils à tour de rôle.

Le vent du sud qui avait soufflé si vif toute la journée ne s’ était pas encore apaisé. L’ atmosphère de la chambre était un peu lourde. Lui ouvrant la fenêtre, s’ accouda au balcon pour respirer l’ air. Le ciel était couvert, il était impossible de distinguer un objet devant soi; le canal avait l’ air d’ un gouffre noir: les maisons situées en face semblaient une ligne d’ ombre se confondant avec le ciel sans étoiles et sans lune. Le brouillard s’intensifiait dans les ruelles de de la ville de São Paulo. Il recouvrait peu à peu chaque mur et chaque pierre d’ une étrange pellicule grisâtre. Aucune lumière, aucune lueur, pas même la déesse lune, souveraine des nuits, ne parvenait à traverser cette brume épaisse. La rue, avec ses tristes pavés humides, ressemblait à un cauchemar. L’ air était froid et tranchant, meurtrissant la gorge à la moindre respiration.

C’ était un soir de pluie. Un frisson d´ été pesait sur la capitale engourdie. Large et pâle dans le ciel austère, la Lune parcourait d’ un œil morne les terres mouillées, se hâtant de fuir vers des horizons meilleurs. Cela doit bien faire une heure qu´ elle regarde la pluie  qui tombe par la fenêtre. Une pluie fine, verglaçante.

Les rideaux de lit étaient disposés de manière à ne pas intercepter l’ air.  Comme il disait cela, il entendit un bruit de pas dans le couloir. Il s’en fut à la porte, souleva le rideau, aperçut la silhouette de son épouse.

Dans le matin João s´approcha du lit quand la belle Maria Cécile ouvre les yeux. Il va regarder le corps de son amante, immobile. Le drap laissait simplement son dos à nu. Elle allume une cigarette  et regarde l´ heure. 06:36. Elle repense du moment au´ ils avaient partagés. A la radio, une chanson « Je suis malade » passe. Elle a chanté sa vie. A cet instant, en fin de compte, elle ressent des émotions.

– Bonjour mon amour.

– Qu´est-ce que tu fais?

– Je te regarde dormir. Comme t´es belle!

– Ça t´a plu de me regarder? Ça t´arrive souvent?

– De temps en temps.

– Je ne savais pas.

– C´est parce que tu dors, plus maintenant. Mais je ne peux pas rester. Je dois filer.

– Pourquoi?

– Je dois aller au casino.

– Je me sens comme une lionne prisionnière dans mon propre corps, cherchant en vain la clé qui ouvrira la porte qui me délivera. C´est paradoxal, mais c´est ce que je ressens.

– Aplus, mon amour !

Maria Cécile se sent radieuse, excitée  comme une collégienne , et tout son corps frémit lorsqu´elle laisse les pensées s’évader vers un mec bien doté.

Un paysage urbain infini, constellé et mouvant dans une atmosphère saturée de vapeurs humides et de bourrasques pluvieuses. Elle s’ imagine que c’ est un truc qui vous brûle de l’ intérieur, une envie bouillonnante et irrépressible d’ agir pour changer le monde et les gens. Pourtant elle sait être séduisante. Elle sait se rendre désirable. Avec ça dans le ventre, on doit bien se sentir un peu plus vivant non? Mais à quoi bon? De toute façon elle ne changera jamais le monde. Une blonde et un corps… De gros seins fermes et provocants aux mamelons facilement érigés, la taille fine surplombant les longues jambes qui attirent les regards des mâles lorsqu’ elle marche. Les escarpins rouges choisis sont aussi du plus bel effet et montrent un contraste saisissant avec le noir et mettent en valeur l’ ensemble. Un plaisir de voir tous les hommes tourner la tête et rester un peu ébahis!  À l’ arrière, ses cuisses se fondent dans la plus belle paire de fesses. Ce parc longeait l´ église Saint João Baptiste petit edifice de stylegothique en granite et calcaire où trônait un clocher en ardoise surmonté d´ une girouette en forme de chat en bronze et  entouré  d´ une haute grille en fer forgé. Un coup de klaxon la fait sursauter. Elle se retourne: un automobiliste arrêté en pleine rue l’ observe; elle reste ainsi, figée par son regard. C’est un vrai plaisir de voir tous ces regards qui suivent ses jambes puis ses fesses pendant le trajet. D’un coup elle reprend ses esprits. La voiture redémarre et disparaît. Les hommes qu´ elle croise lui sourient, les femmes l’ ignorent. Aucune remarque désobligeante sur sa tenue, pas de geste obscène;  elle est soulagée de ne pas trop choquer.Mais le désir  qui monte au plus profond d´ elle a raison de ses dernières résistances. Maria Cécile marchait à travers l’ obscurité, éclairée par les lumières nocturnes, fendant la brume d’un pas vif, et faisais semblant de ne pas savoir où ses pas se dirigeaient. Ses mains gantées serraient son sac contre la poitrine, essayant de préserver son corps du froid qui transformait son souffle en buée. La rue était calme, à cette heure où même dealers et malfrats doivent dormir, et elle n’ avait croisé en tout et pour tout qu’ un chat errant. Noir, évidemment. À la lumière du jour. Les bruits de la ville l’ accompagnaient, au loin, parfois la sirène d’ une ambulance ou un grondement de moteur, et les odeurs aussi. Restes de poubelles et jets d’ urine, elle doit dire qu´ elle ne traversait guère le plus beau quartier de la ville, depuis plus d’ une heure qu´ elle parcourait les trottoirs, mais citadin depuis toujours tout cela ne l’ incommodait plus vraiment.

Quatre

Elle a adoré cette vision de la femme en robe très courte par endroits faire la traversée et voir les têtes de tous ces hommes qui la suivaient du regard! Elle voit dans ce moment un noir traverser la rue et il la plaît. Elle se retournait  discrètement et vit l’ homme qui regardait avec insistance dans sa direction. Effectivement, au fond de elle, l’ excitation  aidant, elle en mourait d’ envie. Il est, unréfugié politique, avait dû fuir son pays en guerre. Issu de la grande bourgeoisie, ses origines ethniques, ses opinions politiques et ses convictions religieuses l’ avaient placé en tête de liste des personnages à abattre. Il était  jeune encore au moment.L’ homme noir la suivit et e il vit qu’ en s’ approchant, une belle bosse dans son pantalon.  Sa poitrine est volumineuse et sa robe est toujours très ajusté. Elle avait besoin de voir les hommes traîner sur ses décolletés et imaginer ses gros seins bouger.  Mais il sent très vite que derrière cette jeune femme raffinée et bourgeoise, il y a du sexe à l’ état pur. Elle aime et elle avait besoin d’ énormément de sexe. Cela peut se passer à n’ importe quel moment, elle est esclave de ce désir d´une mariée et de cette soif de sexe.Belle blonde, une franche beauté intimidante, mais du charme, et beaucoup de malices dans les yeux, elle le séduisit surtout par son mélange de timidité feinte et de caractère, et il sentait en elle une sensualité abusive.  Elle avait en effet rencontré quelqu’ un. Finalement, elle lui sourit, et le black vit à nouveau cette expression qui l’avait accroché dès le premier regard, rien de plus pourtant qu’un brusque écartement de lèvres qui découvrait de petites dents blanches mais il avait l’impression qu’ elle lui souriait de tout son visage, et elle sentit son cœur accélérer sensiblement. Ce fut elle qui rompit le silence:

– Salut mon beau. Comment s´ appelle vous ?

– Abdu.

– Abdu, c’ est un joli prénom.Non ne vous inquiétez pas, je ne suis pas dépressive.La lune est magnifique ce soir, lui dit-elle en se retournant.

– Ne soyez pas gênée, vous êtes si belle et excitante, vous avez raison de vous donner du plaisir.

– Tu m´ as suivi?

– Oui, je t´ ai suivi

– Ça va paraître étrange. Au moins tu es en terrain connu?

– Vas-y. C´ est mon quartier.

– Alors, surprise ma jolie? lui susurre-t-il à l’ oreille, son souffle chaud causant une vague de délicieux frissons à travers tout le corps de la blonde.

– J’ ai peut-être une idée, mais je ne sais pas si cela vaut le coup de la dire…Tu es d’ accord pour se laisser faire quoi que tu me propose?

– Vous êtes direct!

– Non, c’ est juste que je n’ aime pas perdre de temps.

– C’ est-à-dire?

– Je vous veux.Oooh, mon Dieu! Je t’ ai fait peur?

– Non, j’ étais plongée dans mes rêves…

–  Ah bon! Quel genre de rêves?

– Bien sûr.J’ ai eu envie de toi dès que je t’ ai vu. Tu es absolument délicieuse dans cette tenue.

– Je vous accompagne, vous habitez loin?

–  Venez,  Mademoiselle. Je vous amène dans un lieu très particulier, lui souffla-t-il.

En l’ espace d’ un instant, elle se retrouvait seule avec lui. Il lui proposa alors de la suivre et se comporta en parfait. Elle avale sa salive. L’ atmosphère était lourde. Elle n’ a que 19 ans, et elle est sexellement très dangereuse!Il était littéralement fascinée par sa beauté. Les rues calmes et les coins sombres sont idéaux pour les caresses intimes, les baisers dévorants. Ils en profitaient. Elle le force à déambuler dans la rue, robe courte, sexy, exposant son magnifique postérieur aux voyeurs occasionnels, ce qu`elle aime.  Il veut lui faire une surprise…  Ils ne sont pas là pour contempler les étoiles. Le temps est doux. Très agréable. Dans l’ étroit escalier,du couloir d´ un vieux edifice qui mène aux petits appartements. Il avait en plus droit à un large sourire de la si belle blonde qui finit de le mettre en transe. Elle était contre le mur… Il apprécie son généreux fessier.  Rien à faire, son ventre s’ électrise, ses seins se durcissent et ses tétons se tendent.

– Alors?

– Tu as un cul à inspirer un peintre!Tu es magnifique, et depuis que nous sommes seuls, je suis comme fou…

– C’ est agréable ici, dans le couloir,  surtout qu’ il n y a pas de personne. Faisons l’ amour comme si nous étions seuls dans une chambre.

Il pétrit ses fesses généreuses, qu’ il adore honorer.  Des deux, c’ est Maria Cécile  la plus excitée. Elle songe à la grosse queue d´Abdu et à tout le plaisir qu’ elle lui a procuré…

Jeu de mots? Elle avait une vue en effet imprenable sur la lune, mais aussi sur ses fesses rondes et fermes, sur son dos lisse, sur ses cuisses parfaites. Un autre point commun! Elle reconnait qu’il faut beaucoup de patience pour vivre avec le petit volcan qu´ elle est…  C’est un jeu de séduction feutré entr´eux.

– Voici l’ effet que tu me fais.Tu veux ma grosse queue?

–  Oui, prends-moi, lime-moi.

– Tu veux quoi, superbe coquine?

– Je veux ta queue, je n’en peux plus, fourre-la-moi.

–  Prends-moi par-derrière! Mange-moi, s’ il te plaît!

–  Ta chatte?

–  Oui, mange-la!

–  Humm, j’en avais trop envie, me dit-il

–  Moi aussi.

Il était derrière elle deux mains sur le mur et va  la pénètrer  ainsi. Il prend ses fesses  à pleines mains. Il adore sentir son généreux fessier s’ écraser sur ses hanches. Elle adore sentir sa queue au fond de son vagin. Lorsque le phallus d’ ébène  força sa vulve.  Elle est toute mouillée.

La scène me semble surréaliste. La situation semblait l’ inspirer. Maria Cécile serrait les dents pour ne pas gémir de douleur. Il y allait par petits à-coups. Il fallait qu’elle s’habitue de la taille  pour qu’ elle puisse réellement apprécier. Elle donne des coups de bassin pour que la pénétration soit plus profonde et plus violente. Le plaisir  monte, la chaleur dans ton ventre est intense, et avec ta main libre tu t’ efforces d’ étouffer ses cris. Elle respirait vite et fort. Elle était beaucoup plus discrète: tout dans la retenue, elle était concentrée sur son propre plaisir.

– Hein que t’ aime ma queue dans ta chatte de salope!

– Oh oui, j’ adore ta queue, ta grosse queue! Oh oui, remplis-moi, mets-moi du foutre partout! Ah oui, vas-y! Défonce-moi, mon gros salaud! Vas-y!

En regardant le sol, il vit qu’ elle l’ avait arrosé de sa cyprine. Son sexe cracha d’ épaisses giclées dans la vulve accueillante. Ses giclées  étaient puissantes, son sperme  chaud et abundant.  Serrée… Chaude… Humide… Son corps recouvert de sueur causée par le sexe… Maria Cécile  vient de jouir comme jamais.  Enfin il l´ a baisée. Elle se trémoussait. Ils jouissent  assez rapidement. Elle a un peu froid et elle remet son string.

Ils vont braquer le casino. Le lieu c´est une mine d´or. Dans lecasino les bandits arrivent armés de fusis… La place des hérois de guerre fermée. Rue Formosa interdite à la circulations. Le premier coup de minuit ralentit l´horloge de la mairie. Jarbas (le chef des bandits) sursauta et vérifiel´heure à sa montre.

– Merde de merde! Déjà. Comme le temps passe vite! Allons nous… C´est au fond du couloir.

– Demétrio est là Jarbas.

– Demétrio va entrer pour l´arrière dans un couloir qu´il ammène au salon sécourisé.

– C´est risqué. Mais je sais me defendre. Laisse le barmen avec moi.

Ils vont droit vers à la salle administrative. Ça semble presque calculé.

– Personne bouge. Couchez-vous. A terre…  Maintenant à terre. Vos mains en l´air putain! Mets ta tête contre le mur! Contre le mur.

– Qui es-tu? Que veux-tu ? Qu’est ce que je fous là? Tu veux du fric? Vous faites une grosse erreur.

– Ta guele. Mieux vaut ne pas le savoir.Tu vas bientôt savoir.Debout et vous restez assis…

– Tu es un grand malade, toi. T´as la tête qui…

–  Pas du tout.Tout doucement, allez, bande de cons. L´argent sur la table c´est un numéro grossier. Sachez que je ne jouais la comédie.

– Vous ne me ferez pas de mal? Lui demanda-t-il soudain d’une voix basse, presque chuchotée.

– Je te laisserai la vie sauve.Allez remettre le compte à zéro. Où est tout l´argent? Ouvrez ce putain de coffre.

– Mon patron va me tuer. Voilà l´argent, met un terme ça.

– On dégage, allez… Videz le coffre.

– Je vais chercher l´argent. Du calme.

– Arrête de me regarder. Tu devais poser tout sur la table. Super…

– J´esper que vous savez ce que vous faites. Tu sais qu´ils vont te tuer. Tu le sais, n´est pas?

– Taises-toi, putain.Au moins cinq banditsarmés dehors. On se dépêche! Allez.

– Combien? Demande Jarbas.

– Un million et demi.

Crescendo à suspense… Cris… Puis ils s´évadent. Le proprietaire du lieu est avisé rapidement.

– Où sont-ils allés ? Procedez en cercles. Vérifiez les caméras des environs. Suivrez-les.

– Les caméras des environs sont toutes éffaces… Mais ils font vers le Nord.

Les sorties ont été verouillés, mais une fourgonnette abandonnée près du casino.

– Il n´est pas vrai, murmure-t-il en savoir.

Il avait un agent de la police Federal qu´en fut avisé vite. Excelent enquêteur et leader d´un groupe de policierscorrompusde tueurs à gages. Alors, il a promi à plusieurs policier scorrupts 100.000 à chaque vouleur mort. João Marcondes Fagundes allait tenté récupérer part de ce qu´ils avaient pris. En change, il allait faire des trucsaffreux. Le lientement y avait des flics partout proche du casino. Des gyrophares de couleur bleue, rouge, jaune, illuminent ce quartier huppé de la capital.

Tout avait se passé comme prévu. Dans la fuite du casino Jarbas est arrêté pour la policie militaire. Son dévouement avait porté ses fruits.

– Coupez le moteur et sortez. Sors de la voiture, mains à l´air.

– Ok… Ok… Qu´est-ce que se passe?

– T´es le suspect numéro un de l´assaut au casino.

– Pas moi.

– Fouillez la voiture. Votre boulot, vous attendez quoi? Ordonne à son partenaire.

Dans le coffre de l´auto est recontré plus de 400.000 en espècie de l´argent sale. Avec la suspecte présumé a le choix: confesser ou mourir. Ou confesser et mourir.

– Et l´argent?

  • – Pas sais.

– Qui était dans le fourgonnette abandonnée arrière le casino?

  • – Le fourgonnette? Je n´en ai vu aucune.

– C´est pitoyable. Tu mens mal. Je le sais. Tu me caches quelque chose. Je le vois dans tes yeux.

  • – C´est compliqué.
  • – Simpliez-vous les choses. Tu n´es pas réel.

– Lieutement… Je sais qui t´es… Vous croyez traverser le pays en tuant gens.

– Ah oui… T´as appris en voulant la télé? Tu vas payer pour tout ça. Vous êtes en état d´arrestation. C´est criminel. On va tirer ça au clair au comissariat.

Vombrissement d´une moto. Sirène de police que passe, cresce le suspence. C´était une simple braquage? Non… C´était le fin de tout… Immédiatement le policier donne lui sur la tête deux coups de feux.

– Petit voleur de merde!

– Qui se passe? Demande l´autre policier.

– C´est l´argent du vol du casino.

– Tu perds ton temps, c´est conneries! Il est mort?

– Oui…Les signes vitaux  n´apparaissent plus. Il repose en paix. Il y a d´autres petits malins ensemble. Les morts pas racontent des histoires.

– Et maintenant? Ce n´est pas professionnel.

– Je le sais… Je suis fou, et personne ne sera épargné. Mais lui mort vale 100.000 en espècie.

Le corps saignait du nez sur le trottoir. La prense a informé que reste juste savoir combien de policiers ont eux aussi, un job au casino. L´appel téléphonique d´un de ses gardes. La sonnerie soudaine de son téléphone portable le fit sursauter comme un enfant pris en faute. Il atteignit à grand peine une poche de son blouson l´obligent à retourner immediatement au casino. Le lieu c´est vraiment une machine de gagner l´argent. Les seuls gagnants, c´est lui. Les jouers non aucune chance. Leur liquide à flots des tables de jeu à ses caisses par la caje vers l´enceinte, la plus sacrée du casino. L´endroit où se font les adictions, le saint des saints. La salle de comptes, l´entrée fait strictement interdite, pas pour lui. Mais c´était son boulot de alimenter le blé. Pour eux, tout avait l´air réglo. C´est la routine. Une affaire qui tourne. Personne le voir sortir. João a une sortie secret avec sa valise sans se faire arrêter. Une valise avec deux millions de dollars. Ça appelle les attentions de bandits…

Aux yeux du monde il est un homme régulier. Un homme puissant. Ses cassinos sont une pluie de l´argent.

Elle quittait sa luxueuse residence. Elle éprouve toujours quelques difficultés à dominer son désir. Et cette fois, il ne l’ avait pas seulement pensé, ce petit mot. C’ était presque incroyable! Cette différence qui existait, entre la facilité du mot et l’ énormité de sa signification, avait quelque chose de colossal! Peur de ne pas aller jusqu’ au bout, de manquer de courage. Peur, peut-être, aussi, du remords… C’ était pour ça qu’ il tenait à se mettre à l’ épreuve. Elle poussa un soupir de soulegement et se rendit au sous-sol. Elle se dirigeait et arriva à la hauteur de sa voiture, le garage s´ alluma automatiquement. Ses poches pour trouver la clé. D´ une simple pression du pouce, elle déclencha le gémissement de l´ automobile dont les phares se mirent aussitôt à clignoter. Elle régla la ciège et le retro avantrer.

Cinq

La radio jouait une vieille chanson de « Dalida », elle monta le son et commença à respirer. Elle roula quinze minutes environ avant de s´arrêter sur le parking du casino. La Mercédès 190 S.L.  était arrêtée dans un parking d’ ombre tous feux éteints.

Tois heures plus tard… Le coeur battant Maria Cécile marchait pour rejoindre l´entrée du casino. Ses talons claquant dans la nuit. Ses fesses ondulaient, ses seins balottaient légèrement offerts aux regards. Elle se sentait devenir objet de désir, une tapineuse.Vue du trottoir, c’était l’éblouissement, une débauche de lumières, tous les passants tournaient la tête vers la belle blonde, certains même s’arrêtaient se demandant quel évènement extraordinaire pouvait bien en être la raison.

La blonde fatale atteigne la porte du casino. Provocante? Probablement! Naturelle en tout cas. Tous les regards se tourneront vers elle, certains admiratifs, d´autres dubitatifs. Elle semble évoluer au milieu d´un film érotique. L´ agitation est celle d´ une fourmilière: incessante, tourbillonante, frénétique. La chaleur, elle est écrasante; seule une légère brise offre par intermittente un peu de diversion.

Son mari voit sa douce épouse arriver au salon principal habillée d´ une robe jaune « Versace », courte moulante, il n´y avait plus sa taille, mais la robe luyi plaisait bien…C´était un sentiment étrange.Spectacle érotique, il sentit lui-meme un début d´érection.

– Tourne-toi, doucement. Quel corps magnifique. Quel cul! Royal! Et tes yeux comme deux miroirs brillants.  Tu es ravissante ce soir.

– Merci, mon amour.

Il savait sa femme terriblement désirable dans cette robe, scarpins à talons aiguilles d’une hauteur impressionnante. Elle boulait les fesses pour capter les attentions. Elle affole généralement les hommes qu´elle croise et il aime que sa femme soit appréciée par la gent masculine. Le monde a bien changé et certains ne s’ en sont pas rendu compte. Mais il ne se manifestait qu’ à peine… Elle voyait pourtant, dans ses yeux, le désir fou de savoir sa réponse. Elle détestait plus que tout qu’ il la traite de prude, elle qui dans l’ intimité se transformait en tigresse pour le plus grand plaisir de son mari. La classe, en somme! Ça lui donne côté coquin à la Marylin Monroe. Le tissu plaqué sa peau, laisse présager ses formes. Ses cheveux blonds sont retenus par un bandeau. Et le nombre de bijoux! Collier, bagues, bracelets, broche, boucles  d’ oreilles, tout y était. De grands yeux bien dessinés, un sourire éclatant, des lèvres pulpeuses. Elle est magnifique. Elle arrive parlant souriante. Il la complimente sur sa tenu et la flatte. Elle était très fière de sa poitrine généreuse et elle avait raison. Aucun homme n´avait su résister ses seins et il lui suffisait de mettre un beaudécolleté pigeonant pour rendre fou n´importe lequel.  Ça fait plaisir de se faire courtiser.

– J´ai le droit de féliciter la beauté de ma femme.

– C´est pour vous, mon amour. Je suis contente d´être avec toi, de voir gens avec qui tu travailles.

– T´as le droit de rêver.Drôle de vision de choses.

– C´est la vérité. Tu vois tout en noir.

Elle veut du sexe sans complication. Il l´attrape par la main.  Ils allaint au bar, soirée tango, belle soirée en perspective. Ils se perdent dans un couloir. Décoration propre et raffinée où des couples aux corps de rêve se croisent, se plaisent, s’ échangent ou se mélangent. Les femmes y sont divines, superbes, élégantes et distinguées. Une invitation à la tentation. Ambiance glamour  et feutrée qui fascine  et émoustille. Une promesse à l’ amour. Un univers  incroyable s’ offre à elle, un monde qui bouge, qui vit, qu´ aime, qui brave les interdits, où chacun assouvit ses passions  et ses envies avec une frénésie virevoltante.

Au bar, des hommes seuls sirorent champagne et whisky… à lui, le garçon l´a servi trois verres de whisky avec, à chaque fois, plus qu´une simple dose. Maria Cécile a eu le droit à trois verres de Vodka-orange. La femme, brièvement, se transforme en perverse. Cochonne. Salope. Perverse. Pute.  Oh que c’est bon de se lâcher.

Les jus de fruit furent boudés… Les trognes des clients s’illuminaient tandis que la température et l’ambiance s’échauffaient. des alcools en observant la clintèle entrer. Des gens d´affaires qui festoyaient comme si c´était leur dernière nuit sur la terre dans cette ambience chic et feutré. Tout le monde parle. Elle sourit et paraît à l´aise observant avec intéressé un garde du casino. Il mesurait 1m80, athlétique, brun des yeux verts profonds. Il portait un coutume, une chemise et des chaussures très classe qui allaint merveilleusement bien.

Elle n´avait pas l´impression que cet homme apprtenait à son monde. Il plante son regard dans le sien; mais il n´arrive pas à détacher son regard de ce visage. Elle avait commencé à flirter avec l´homme. Ça reste est toutà fait innocent non s´amuser. Il lui fait plaisir de la voir comme ça. Il la buvait littéralement des yeux, et il devinait que c´était l´intesité du regard qui se fondait dans le sien qui l´attirait si fortement. Elle était très sensuelle et lascive. Sa robe n´a rien d´outrageant mais laisse deviner ses formes généreuses. Sa lourde poitrine est moulée dans un tissu qui dessine parfaitement le galbe et le volume impressionnant de son 95F. Ses jambes sont prisonnières de bas résilles qui ne laissent pas le mec indifférent. Ça la met tout de suite de bonne humeur. Même s´il savait qu´il be s´agit que d´un jeu de séduction qui n´ira pas bien loin. Quant à lui, il ne doit pas être sensible aux charmes de son épouse. Il savait par ces simples mots qu´elle n´avait oublié ses fantasmes. Qu´elle était prête à s´abandonner toute entière et à réaliser ce qui n´avait été jusqu´alors pour lui qu´un pur fantasme, mais cette condition singulère qu´il puisse la voir, l´assister.Elle emblait avoir, par dessus tout, envie d´un sexe qui la fasse jouir devant ses yeux.

Elle ne peut se contrôler. João est terriblement excité avec l´idée de la voir sans taboos.  Tout ça, parce qu´elle ne peut plus se contrôler, Il ne savait pas où tout cela va les mener mais il allait profiter le moment pour exerciter son voyerisme. Un homme, jeune, plutôt muscléla mate. Ça la met tout de suite de bonne humeur. Même il sait qu’il ne s’agit que d’un jeu de séduction qui n’ira pas bien loin. Quant à lui, il ne doit pas être insensible aux charmes de son épouse. Il se délecte de la voir sensuelle et ouverte à des pratiques dont il ne l´aurait jamais crue capable.Elle allume son portable et lui montre une photo du garde complètement à poil, nu avec une grosse pine dressée.

– Regarde ça.  C´ est la plus belle chose à lui montrer. Pourquoi tu me regard comme ça? Regaedez-le. Une question lui brûle les lévres.

– Il est un beau mec réellement et trop virile,très fort.

Presqu´ immédiatement, une idée de génie lui travers l´ esprit… Une idée machiavélique qui servirait de facteur déclancheur vers un contact beaucoup plus intime. Puis elle se projetait dans des fantasmes issus de sa toute nouvelle soif de libertinage: elle clamait son besoin de grosses bites. Dans les mots crus et les expressions les plus obscènes, se décrivait comme une salope  en manque, usait de sarcasmes en sachant qu´ il n’ avait pas le cœur à répliquer. Elle avait trouvé une source d’ inspiration qui la mettait en chaleur et le rendait dingue.

– Chéri. Le garde du corps du casino veux me baiser. Il me plaît beaucoup. Il est irrésistible, intime, et étranger à la fois. Le murmure d´une promesse de plaisir effroyante et sublime.. Tu veux bien qu´il me prenne? Tu veux bien qu´il vienne en moi?

– Excuse-moi, mais, l´ idée m´ excite. Il est gentil, beau, poli… Et il a une belle bite.Tous les hommes  sont esclaves de leurs désirs. Il doit être plus un baiseur d´épouses. Vous êtes une femme infidèle,libertine, une tarée sexuelle. Rien ne me fait plus plaisir que la voir être baisée avec un autre mec, dit le mari à elle. Tu es prête à aller plus loin ce soir?

–  Oui! Vous n´imaginez pas comme je suis excitée. Imagine-moi, tu vois comme il suit mes mouvements? C´est ça qui est magique!

– Es-tu prête pour l’expérience? DemandaJoão à sa femme.

– Oui… Monsieur. Je suis juste un peu nerveuse. C´est fou, c´est très risqué.Excuse-moi, mais l´ idée m´ excite. Le garde me plaît. Il est gentil homme comme j´ aime, beau, poli et je suis sûr qu´il a une énorme bite.

–  C’est normal, détends-toi.Quand il s´agit de sexe, tout est permis.J´aimerais d´ assistir la baiser. Je sais que t´ aimeras!

– Quand tu voudras… Mon chéri

– Pourquoi pas ce soir?

– OK

– Ça t´a plu de me regarder?

– Oui… Beaucoup.C´est tout que je veux, mon amour.Mais t´es serieuse?

– Si vous jouez avec le feu, vous risquez de vous brûler. Tu le verras tout à l’heure.

– Pas d´ importance.Pourquoi pas, tout de suite? C´est la folie ce soir.

– Tu me me connaîs pas vraiment.

– Peut- être, mais je me connais. C´est tout récent. Mais les sentiments évoluent.

Le mari le regarde du coin de l´oeil. Il est là.

– Attends-moi, j´arrive. Si tu veux, tu peucx tout arrêter maintenant. Mais sache que je t´aime et te resterait quoiqu´il arrive.

Entre excitation et curiosité il répondit à nouveau « ok », et que ça ne changeait rien pour lui, elle resterait toujours la plus adorable des femmes.

Maria Cécile allait fumer une cigarette à l´extérieur du casino. Dix minutes plus tard, João, le mari arrive au parking dans un coin peu illuminé et la retrouve avec le garde du corps. Elle le trouve séduisant. Ça se voit à la façon dont elle s´esclaffe et pose la main sur son épaule. Il la connait par coeur, sa femme.Elle est serrée contre lui. Les bras enlacés autour de son cou. Elle bouge à peine, savourant le contactintime de ce corps musclé contre le sien. Quant à lui, une main sur la hanche de sa femme, l´autre sur les de ses reins, João savoure la situation.  Ses seins son plaqués sur le torse du mec, il en disceme certainement la consistance, le volume. Il la regarde et se masturbe. Le jeu continue comme ça.

– J’ai envie d’entendre ta jolie voix, alors soit plus expressive. J´ai envie de te prendre, murmure le garde à l´oreille de Maria Cécile.

– Oui, j’ai envie de votre sexe. Oui, viens en moi, répond-elle.

– Tu as envie de ma grosse queue, hein, petite salope?

– Ouuuii… J´ai envie de ta grosse queue dans ma chatte.

La blonde plonge alors son regard dans les yeux du mec et de son autre main, guide le sexe vers sien.

– J´adore ta bite. Elle est dure comme j´aime. Allez… Doucement, lui murmure-t-elle, je veux te sentir me pénétrerdoucement.

– J’adore ta bite. Elle est très dure comme j’aime. Doucement, lui murmure-t-elle, je veux te sentir me pénétrer doucement.

Maria Cécilese mord les lèvres, les narines tour à tour pincées et dilatées, elle manque de l´air. Elle ondule de tout son corps pour amplifier le plaisir. Elle tient toujours sa main. Elle lui regarde reconnaissante, elle est bouleversante de plaisir et de désir. Elle murmure que c´est bon, qu´elle jouit, qu’elle aime être offerte ainsi, que c’est bon d’être prise, sans pudeur. Le mec, que cette situation irréaliste surpasse, se concentre sur son sexe, pour faire durer ce ballet le plus longtemps possible. Il voit l’orgasme de la jeune femme monter progressivement il sent ses muscles se tendre, son corps s´arquer, les veines de son cou se gonfler, son souffle manquer, ses yeux se révulser comme si elle allait s´évanouir. Elle se met à crier très fort en ayant un orgasme qui semble dévastateur. Enfin, n´y tenant plus, elle pousse un cri déchirant lorsqu´il avait explosé dans son ventre. Il a soudainement déchargé son sperme avec de jets surpuissants. Il l´a donné une quantité énorme. Il croit qu´il a joui autant qu´elle.

Il continue à la pistonner, encore et encore, pour lui donner jusqu´à la dernière goutte de son sperme brûlant, pour se vider complètement dans son ventre délicat. Enfin, à bout de souffle, il relâche son étreinte. Elle était en sueur.

Le garde en sortit vite et elle s´approche de son époux voyeur et ouvre grand les yeux, et le fait un large sourire. Elle ne pouvait plus se retenir et des secrétions vaginales de plus en plus importantes coulaient le long de ses cuisses:

– Waouh ! J´ai jamais autant joui.

Elle allumait une autre cigarette qu´elle fumait le temps qu´elle récuperait ses forces.Elle qui gardait des traces de sperme dont l´intérieur de ses cuisses. Sa jouissance s’en trouvait plus rapide et si violente qu’elle en était déboussolée et à son tour lui faisait l’amour de la même façon avec sauvagerie. L´odeur du sperme seché fouetta alors vivement ses narines, Cette odeur lui plaît et l´excita tout autant.

Six

Elle sourit radieuse et se blottit contre lui en murmurant à ses oreilles:

– Merci mon amour… Tu sens fort. C´était féroce. C´était animal, un peu bestial, mais pas féroce.

– Magnifique, j´ai rarement vu un joli spectacle.

– Je ne sais pas, je rêve peut-être, mais je n´arrête pas de penser à quitter toute cette folie.

– Pourtant, on fait des procès, non?

– Ce sera notre normal à nous.

– C´est plus en plus fou.

– Tu joues son propre jeu.

– Je t´adore parce que t es complètement imprévisible.

La vie  allait continuer, mais une chose était certaine: cela ne serait plus un petit fleuve tranquille. La sexualité  peut se vivre aussi pleinement à deux.

Elle l´embrasse avec fougue pour lui montrer combien elle l´aime.Elle en était parfaitement consciente et pour tenter de mettre un frein à une déchéance inévitable incompatible avec le but qu’ il s’était fixé, elle décida d’accélérer le rythme et, pour tenir cette décision. Le mari fini d´assister Maria Cécile  faisant l’amour sauvagement à la hussarde après lui avoir lacéré avec une fureur contenue ses dessous ce qui la changeait radicalement des étreintes érotico caressantes auxquelles il ne l’avait pas habitué.  Elle débuta par la plus douce et la moins nocive et c’est là qu’elle s’est trouvé entraîné dans une spirale infernale dont nul ne sort sans de graves et irréversibles séquelles.

Comment expliquer que c’ était la première fois? Comment faire comprendre qu’ on peut tout avoir et s’ ennuyer? Que les cages dorées restent des cages? Qu’ un mari absent n’est pas remplacé par des cadeaux luxueux?  Elle était la salope qui trompait son gentil mari avec un jardinier. Maria Cecile enfila rapidement sa petite robe rouge celle qui énervait tous les hommes et surtout son mari, oubliant volontairement toute espèce de dessous, incompatibles avec cette tenue. Elle vêtue d´une petite robe à betrelles légère avec plein de petits boutons sur le devant. Depuis la vue offerte du bas de l´escalier on devinait qu´elle ne portait aucune petite culote blanche. On devinait qu´elle ne portait aucune petite culote blanche dessous, comme le voulait pourtant la tradition de la libertinage, Il était beau de voir son excitation de petite chienne et sa nudité sous sa robe de salope. Le mari n´était pas sans savoir qu´elle lui plaisait le jardinier Antonio car les regards furtifs qu´il lui adressait et qu´il surprenait étaient sans équivoque. Elle était très en beauté. Maria Cécile l´avait remarqué également et, de son propre aveu, elle en était même flattée. Elle avait éte l´instigatrice de ce qui était survenu. Temps plus tard… Elle avait sortit vers la chambre du black Antonio. C´était une situation nouvelle pour lui, de la voir là entre les mains d´un autre homme.

– Bonsoir, chéri. Ça vous dérange?

– T’ es fou, toi.

–  Oh oui…

– Un peu me dérange t’ es folle, toi.

– Oh oui…

– Je n’ai pas l’habitude.Vous êtes sûre? – Absolument sûre et certaine, pas de panique!

– T´as promis de tromper son mari, non ? C´est le meilleur endroit pour le faire. Entre!

– Je peux?

– Oui, entre ! Ça va rester entre nous, Madame.

– Arrêtez de m´appeler « Madame ».

– Beaucoup. T´es très jolie. J´ai beaucoup pensé à toi. J´ai même rêvé de toi.

–  Tu as envie de me baiser?

–  Oui.

–  Je t’ excite?

– Depuis longtemps? Depuis le premier jour. J´aimerais vous prendre dans mes bras, sentir votre peau contre la mienne, vous caresser, effleurer vos seins, goûter vontre intimité, puis vous ouvririez les cuisses pour me montrer votre fleur ouverte; j´y glisserai mes doigts tout doucement, je la flatterai de ma langue. Vous verrez, elle est douce, ma langue.

Puis… Il ouvre sa porte et la prend par la main pour l´attirer à l´intérieur. Elle se plante au milieu de sa pièce, à trois mètre et se tourner vers lui.

–  Ah, vous êtes devin?

– Non. Mais je peux essayer. Tourne-toi, que je puisse te voir entièrement.

– Je veux ta queue! Tu veux que je te suce?

–  Que vous étiez nue sous votre robe…

–  Oui, je suis nue.

– Très sexy oui, comme j´aime pardon? Tu m´as très bien entendu! Maintenant, t´enlèves ta robe.

–  Alors?

– Tu es magnifique, et depuis que nous sommes seuls, je suis comme fou…C’ est vous, oui, telle que je vous imagine.

– Et vous m’ imaginez nue?

Elle passe sa langue sur ses lèvres avec un sourire gourmand et déboutonne sa robe, faisant jaillir ses seinsplantureux dans la lumière grise.  Elle se comporte d’ une façon irréelle, comme une cochonne, aux abois du plaisir. Unefois nue, elle s´est caressé devant lui en le regardant dans les yeux. D´abord les seins, puis le ventre. Il avait passé une main derrière elle pour la toucher les fesses pendant que son autre main écartait ses lèvres intimes pour qu´il puisse voir l´humidité de sa chatte.

–  Regarde! Je suis toute trempée!

–  Mais! Tu… t’ as pas de culotte?

–  Ben non…

–  T’ as été toujour comme ça?

–  Ben oui, mais c’ est pas grave… C’est ce que tu crois, parce que, quand j’ ai envie, j’ ai envie!

– Vous savez que vous me faites bander? Allez viens. Miss chatte-en chaleur.Alors, je suis à la hauteur de tes fantasmes?

–  Alors, c’est mouillé?

–  Un peu, oui.

–  Seulement un peu?

–  Oui.

–  Menteuse!

Maintenant, ´elle qui s´approche. Ils s´embrassent du bout des lèvres pour commencer. Ses bouches s´ouvrent. Ses langues sortent et de découvrent. Elle ondule un peu sur sa bite avec un air malicieux et continue de mener le jeu. Puis, il déboutonna alors son jean et sortit sa queue. Sans être énorme elle était de belle taille mais surtout raide comme un piquet et courbée vers le haut comme elle l´aime. Voir un mec bander a en effet le don de se faire fondre.

– J´ai envie de toi. Oui, je suis prête.

– Je n´en crois rien.

– Elle est belle ta queue. Oui, belle verge, un beau morceau.

– Et elle est assez grosse pour vous, alors?

– Presque trop, oui. J’ai cru que tu allais me déchirer, mais je veux te prouver que je suis prête à tout,  Si c’ est ce que tu veux…Ouais je vois bien que ça te plaît, t’ es un gros pervers, et moi je suis d’ accord pour être ta chienne.

Tandis qu´elle me pratique une longue et belle fellation. Elle commence par lui lécher le gland. Elle le léchouille par petits coups rapides de la langue pour bien le mouiller, puis projetant son torse en avant. Elle se le frotte rapidement sur le bout des seins. Alternativement. Elle lui lèche la queue conscieusement sur toute sa longuer jusqu´à ses grosses couilles qu´elle mordille et aspire en penchant la tête. Puis d´un coup elle s´arrête, le regarde droit dans les yeux et commence à ouvrir la bouche. Caressant ses cheveux, il la félicite:

– Tu sais très bien te servir de ta bouche, petite chienne!

–  Hon-hon…

–  Ta récompense arrive dans peu de temps.

Plus il accélérait le rythme, plus elle semblait en vouloir encore plus. Nos sueurs mélangées, nos baves mêlées, ils étaient en fusion. Elle était comme dans un rêve, rêve qu’ elle a interrompu en parlant pour la première fois, d’ une voie saccadée, claire et suave:

– Je vais jouir, ne t’ arrête plus.

–  C’ est bon, hein, ma petite bourgeoise?

–  Oui! Hummm, gémit elle.

–  Garce, tu en veux!

–  Ouiii, dit-elle suppliante.

Il avait à peine retenu son éjaculation pour enfin libérer en elle, cherchant à ressentir chaque millimètre carré de sa peau et chaque cellule de son vagin en même temps qu´iljouissait. Une extase pleine, unique, animale.À travers le brouillard de ses sens, il l’ entend commencer à jouir comme une petite folle, son corps agité de mille tremblements de plaisir. Il ouvre les yeux: il adore regarder sa victoire, la voir se laisser aller ainsi!Maria Cécile  sent les gouttes de cyprine couler sur ses cuisses. Elle ne pensait pas qu’ il était possible de jouir aussi intensément, et aussi longtemps. Dans le même temps, le mari  s´est masturbé, jusqu’à la venue de l’orgasme. Il fut fulgurant, elle était terrassée, du liquide giclait de sa chatte comme jamais.

–  Nous n’ avons pas choisi le chemin le plus simple…

– Oui et non, mon chéri… Je voulais être une soumise, mais pas trop. Avoir un homme dans ma vie ne m’ intéressait pas plus que ça.

Une fois sortit de la chambre du jardinier, tout en reprenant le chemin vers le domicile conjugal, elle repensait à cette fin de journée. Cette douce femme, si expérimentée, si sûre d´elle et si fragile à la fois. Si insouciante et si torturée par moments… Elle revoyait des images du partage avec le jardinier.Une flaque de sperme encore tiède sur le ventre, elle se laisse son esprit vagabonder.

– Cécile, mon amour! Comment s´est passé dans la chambre du black. Raconte-moi tout, dit il le mari curieux. Il t’ a baisée?

–  Ce n’ était pas à l’ ordre du jour? Il me fait jouir comme jamais! …  C’ était incroyable, elle a eu des orgasmes à en perdre la tête. Je jouis, tu me vois! Il me fait jouir… Oh, c’ est bon!… Ma chatte est pleine de sperme. Tu aimes qu’ il me baise?

–  Comme tu dis. Ça te fait du mal?

– Oui. C’ est douloureux. Hoooo…! Comme c’ est bon! Elle est grosse… Mais ça m’ excite aussi. C’ est curieux.

– Bien sûr…C’est splendide! Je ne trouve pas les mots… Maria Cécile, tu es magnifique!Tu es merveilleuse! Merveilleusement coquine et indécente, j’ ai adoré!

– Ça t’ excite que je te parle de lui? Dis-moi la vérité. Ça t’ excite, non?

– J´ aimerais qu’ il te baise, toujours.

– Si ça te fait plaisir…Tu n’ as pas peur?

– Peur de quoi?

– Tu aurais voulu, sans doute, que je sois plus provocante. Qu’ il profite de la situation.

À son approche, Maria Cécile accrocha son regard, et sans se quitter des yeux l’ attira à elui et posa sa main à hauteur de son sexe. Il était dans un état d’ excitation extrême que la flanelle de son pantalon ne pouvait dissimuler.

– Maintenant je sais comme le plairer totalement.J’ aimerais bien t’ aider à le réaliser tous tes fantasmes.

– Ce serait plus prudent en effet. Et tu resteras son seul vrai amant, celui qui a le droit de jouir dans son ventre et de lui remplir de sperme.

– Oui, pourquoi pas, ce serait même encore plus excitant.

–  Toi, tu cherches à savoir ce qui me ferait plaisir João, mon chéri, je voudrais que tu me manges le minou, gouter le sperma d´un black, tu veux bien?

–  Comme tu veux.Tout ce que tu veux?

Tandis qu´il  lapait le jus de son plaisir à dire vrai au goût indéfinissable.

– Viens nettoyer, petit chien, viens mon coculécher le foutre d’ un autre.

Sept

Il se mets entre ses jambes. Il voit le sperme couler de sa chatte, ça sent fort. Il colle sa bouche sur son sexe. Il lèche ce sperme. Il commence doucement un peu dégouté. Énervée sa femme lui colle carrément la tête sur son sexe. Finalement devant les insultes de sa femme, il y mets toute son excitation, lui écarte les lèvres pour aller glisser sa langue bien au fond de sa chatte. Il nettoyé tout, il avale tout.

–  Lèche, connard!

–  Aimes-tu mes petits coups de langue?

– C’ est très bon, fais-moi ce que tu veux.

–  Je suce bien?

–  Tu es très doué.

–  Meilleur que la fellation, oui, surtout quand on avale tout comme moi!

–  Toi, tu es bon de partout. Tu m´as fait la meilleure pipe de ma vie. Puis… Il a ressentie lorsqu´il a oubligé dans son ventre encore enpli du plaisir d´un autre. Un delice…

– Hummm… T´es fou! Tu vas me faire mourir! Hooo… Encore. C´est trop bon! Plus loin, plus fort. J´ai trop envie… Je te sens partout… Je vais jouir encore…

Maria se tordait comme sous une violentedécharge électrique, elle cria, cria, se tendit comme un arc et retomba inerte et sans vie.Ils avaient fait l’ amour, tendrement. Il l’a fait remarquer qu´il  sentait le sperme d’un autre; ça l’a excité. Moi aussi. Maria Cécile, aime faire l’ amour. Elle n’ est pas nymphomane, non. Une nymphomane ne prend plaisir à rien et cherche en permanence toujours plus. Elle aime son corps, aime se regarder, aime qu’on la regarde. Le plaisir de posséder, de faire céder, de foutre à poil et de sauter oui. C’est ça qui compte. Elle se souvient de chaque moment et en parle avec passion. Elle sait vous décrire avec précision ses émotions, ses joies et ses peines, dont le mari, finalement complice, la pousse à transgresser les interdits. Cette nuit a déclenchée la plus grande épreuve de sa vie.

Les semaines et les mois passent, la vie reprit sont cours d´avant… Elle avait décidé de changer, de devenir sexy, de draguer et de faire tout pour attirerl´attention des hommes à tel point qu´elle ne se reconnaissait plus. Elle va finirpar combler toutes ses nuits qui sont toujours si solitaires avec un autrehomme, oui un amant. Au fur et à mesure que le temps passe, Maria Cécile s’éloigne de plus en plus de son mari et ce sans qu’il n’en prenne même pas conscience. La vie continue sans autre plaisir comun, ni ciné, ni sortie, ni rien. Rien ne la branche comme toujours !

Ensemble depuis plusieurs années et toujours aussi amoureux, ils avaient décidés de ne pas tomber dans la routine qui s’ installe insidieusement au fil du temps dans le couple. Pour éviter ce piège, nous trouvons toujours le moyen d´eux réserver des moments d’ intimité, pendant lesquels ils pouvaient laisser libre cours à leur imagination en explorant les fantasmesérotiques.

Quant à les jeux libertins, ils progressent dans un climat de confiance réciproque qui les offre des sensations toujours plus variées. Après avoir savouré les multiples plaisirs du triolisme, du mélangisme et de l’échangisme, leur imagination. Elle avait découvert, il y a peu, un plaisir très intense qui se passe dans la tête avant de se concrétiser sexuellement. Elle avez fait naître un nouveau fantasme.La route longe un bois, mais à cinq cents mètres c’ est une sorte d’ entrepôt, avec des camions qui entrent et qui sortent du matin au soir. Elle rêvait de se faire baiser dans une cabnine de camion.L’ idée l’ amuse. Elle est partie en chasse!Finalement, c’ est même devenu une chaude journée.Habillée d’une robe imprimée courte sans manches avec des bretelles fines, Cécile se maquille dans la salle de bain. Elle utilisait un vaporisateur pour placer une poudre sur des pinceaux et étalent les paillettes autour des yeux, sur les pommettes, sur les seins, au-dessus du pubis Les paillettes multicolores sont intenses en reflets. Finalement, l’ étroit endroit se révèle suffisant. Cécile a tout prévu. Sa tenue sexy est et  léger elle était nue. La blonde aime être nue. Elle aime se montrer nue, exciter les hommes, et certainement aussi les femmes. Elle s’ excite en excitant. Elle n’est pas belle, la vie?

Un jour son mari João Marcondes fagundes proprietaire de plusieurs casinos clandestins allait souffrir cas de violences policières depuis des annés d´exploration des jeux de malchances. Ses cassinos son tous fermés pour la police federal. Les jeux de cassinos sont  prohibés au Brésil. Il allait été detenu et la justice brésilenne avait exigé de caution 12 miliões de dollars pour le faire libre. Il compte sur un accord avant procès. Mais ensuite la refuse de liberté conditionnelle à cause de plus crimes. La libertée est refusé pour des raison punitives.

Sa traque ne fut pas très longue, ce qui se comprend aisément lorsqu´on connaît Maria Cécile, blonde merveilleuse, sa silhouette, ses seinsarrogants, ses jambes, ses cuisses fermes et galbées, son sourire coquin, son regard de braise. Il faut essayer de profiter la vie tant que ça dure.

La police federal est dans le bureau d´entrepreneur João Marcondes Fagundes.

– Oui, que voulez-vous ?

– Vous êtes en état d´ arrestation pour jeux clandestins. Mains derrière de dos. Je vous arrête pour jeux illégals et porte d´arme mortelle. Vous avez le droit de garder le silence. Tout ce que vous direz pourra et sera utilisé contre vous devant un tribunal.

– Je suis en train de sortir du bureau.

– Oui… C´ est pour la prison.

Le soleil ne cesse de briller et de brûler depuis l’aube, et cela dure depuis dessemaines sans répit. Seul un orage pourrait alléger l’atmosphère rendue irrespirable par la canicule. Dans le grand salon, quelques rares irréductibles persistent à se trémousser. Admirables ou suicidaires? Elle est incapable de telles prouesses, prostrée dans le grand fauteuil où elle a atterri une heure auparavant, n’ en bougeant plus depuis, molle et lourde.Cela fait un bon moment que son mari  a disparu…Elle savait qu´il est but d´une investigation et était plein d´auditeurs fiscals alentour… La peur lui fit décoller les deux pieds du sol,rémissionen suspension dans l’ air comme un équilibriste sur un fil invisible.Le bruit s’ intensifia, signe que ce qui le provoquait se approchait. Son cerveau lui intima de fuir, mais aucun de ses muscles n’ obéit.

Dans la TV :  « Quand vous entendez parler de Casino Clandestin, vous pensez de hommes et femmes jouant ensemble, ça veut dire autre chose, quelque chose de plis sombre. Mafia et le crime organisé. La présence de mafieux italiens au Brésil. Oui, tout le monde le savait. Ils programment des gens pour faire des trucs. Pour avoir blanchiment de l´argent sale et prostitution de luxe ou bien pour tuer quelqu´un. Le souvenir que de nombreux décès violents y ont lieu contribue à la sinistre réputation de ces Casinos Clandestins. Ils sont parmis vous, probablement apparu à la fin des années 80. Une légendeurbaine que persiste à São Paulo. Quelque part en ville se trouve un établissement illégal frequenté pour gens riches et à élite sociale. Son proprietaire JoãoMarcondes Fagundes se trouva arrêté dans la police Féderale. Alors, il pourrait être un monstre endormi.Il y a que plusieurs autres  personnes. Quelque part en ville se trouve un établissementil légal, c´est bien réel».

Ce n’ est qu’ en entendant un bruit de moteur  résonner plus près qu’ elle lève le nez et sort de son rêve. Cette ville de fous. Elle ne veux pas vivre dans une ville  où le seul avantage culturel est-ce pour avoir tourner à un feu rouge. La voiture s’ est arrêtée quelques mètres plus loin. Il restait une place sur un passage piéton. Trop tentante. Des claquements retentissent dans le silence.MariaCécile est constamment habitée par un sentiment de gêne et de trouble. Elle sait qu’ elle inspire aux gens qui l’approchent pour la première fois une impression indéfinissable: mélange de désarroi, de pitié et parfois de répulsion. Les réactions varient selon les personnes et elle devine rapidement celles qui se laissent finalement dominer par la sympathie.

Son jardinier Antonio entre dans la maison et parle à Maria Cécile.

– Quelqu´ un vous attend dans la garage, Il me dit qu´ il est l´ avocat de son mari. Je m´ en debarrasse?

– Nom… Il peut entrer.

– Bonjour, Madame Fagundes! Je viens l´aviser que son mari était dans une prison federalaccusé de promover jeux clandestins dans le pays. Ce qu´il a fait est un crime. Après… C´est à la fois facile et difficile à expliquer.

– As-tu des preuves contre lui?

– Il avit nos dites que le van de son proprieté serait vide. Il avait menti, La police avait trouvé des machines de jeuprohibé et des explosifs. Je veux juste de mettre les choses au clair.

– C´est un risque trop important pour une théorie. Je ne sais pas sur tout ça.

– Vous avez ce droit de garder le silence, mais je suis venu ici pour te dire que je devrais la suivre, ok?

– Ok… Quoi faire ?

Son sourire disparut instantanément, ses lèvres se remarquent autant que ses yeux clairs dans son joli visage. L information tombe comme une bombe atomique. Sa cariière de Roi des Casinos Clandestins s´effondrer. Elle savait que la situation était d´une telle gravité, sans doute un signe du destin. Pourtant quand tout va mal l´amour entre deux être devrait être plus fort.

Restant de marbre lorsque certains hommes la regardent avec insistance, elle apprécie cependant en son for intérieur l’ hommage qui lui est ainsi rendu.Elle aime attirer  attention, sans chercher à provoquer. Son coeur fait un saut dans sa gorge. Les paroles entraient dans le cerveau de la femme plus sûrement qu´une drogue. Elle balança la tête. C´était trop compliqué pour elle. L´endroit est décoré different que dans son imagination. Canapés bas, coussins noirs, meubles en chêne clair. Ça sent le frais et le propre. Cependant, il ne prête que peu d´intention à la disposition de son salon. Mais d´un autre côté, il adore mater et voir comme elle était dans son intimité.

Maria Cécile assise dans un confortable fauteuil en cuirturquoise, jambes croisées l´observait.  Elle balança la tête. C´est trop compliqué pour elle.

–  J´ai envie de venir te voir chez toi, dit le enquêteur.

– Chez-moi?

– Oui… Tu te savais que ton mari est detenu?

– Non… Je n´en savait pas. Et quoi je peux faire pour l´aider ?

– Maintenant, rien.L´ histoire de ces casinos n´est pas écrit nulle part. C´est les histoires d´être ou ne pas être de ceux qui regardent la vie par le fenêtre.

– C´est de la folie. Ça n´ a pas d´ aucun sens, il est accusé à tort. La police se trompe, João n´ a jamais eu qu´ une obsession sa brillante reputation comme homme d´affairs, dit Maria Cécile préoccupée avec son époux.

– J´ai demandé la reouverture de la médiation sur la question arbitraire. Mon client, son mari, a été détenu contre son gré. Une violation de tout. Comme vous voyez, ses pertes financières sont énormes.

– Et moi… Comment je reste ?

– Il y a une conte dans un banquesuisse avec huit millions de dollars, pas préoccupe.

– C´est vrai?… Ah… Oui… Tout le monde a son truc.

– Laisse passer l´ orage. Attend, écoute, regarde. C´est sont des choses qu´arrivent l´ enfer a duré quelques mois, c´ est dur. Mais c´est temporaire. Mais son épouxJoão a besoin de toi. Personne ne va le voir en prison.

– Je devais aller le voit ?

– Bien sûr….

– Je sais… Je vais vois que je peux faire.

Mais  le chef s´était fait également des amis, nombreux et sincères, car son intelligence, son bon sens, son flair devenu proverbial et sa conscience professionnel le n´avaient d´égaux que son amabilité, sa serviabilité et son grand coeur. Toutes ces qualités avaient fait de ce brave homme double d´un homme brave et un serviter d´élite dont la carrière plus qu´honorable, aurait pu être brillante, avec,  de la part d´un entrepreneuravec un peu plus d´ambition. Peu de temps depuis il allait ouvrir plusieurs casinos cladestins en tout le pays qu´allait lui donner le titule de milliardaire.

Maria Cécile avec Une ineffable tristesse lui serre la gorge, alors qu’ une rogne incoercible le taraude également.Elle se sent néanmoins d’ un sentiment nonchalante et a envie de profiter de cette fin de journée en terrasse et d’ apprécier sa solitude en observant le spectacle des passants. Il faut dire que regarder les gens dans la rue, surtout la gent féminine, est une activité que l’ affectionne tout particulièrement.

De retour à son bureau, il y jeta un regard circulaire avant de la quitter pour rentrer chez lui. Il arriva sur le pas de la porte et sort vite… Le jour suivant elle allait à prison visiter son mari.Il lui restait suffisamment de temps pour prendre un cappuccino réchauffer son corps qui malgré la se disent que c´était peut-être la dernière fois. Robe noire ouverteà mi-cuisses, large ceinturon sur les hanches et chaussures à talon hauts, la blondesocialite donnait vertige à plus d´un intéressé… Avec une densée très philosophique: elle est baisable celle-là. Maria Cécile se sentait une dépravée du destin.

Un garde de prison, lui non plus ne reste pas indifférent à sa beauté. Elle s’était faite toute belle, sexy et à la limite de la provocation. Une petite robe courte de couleur rouge dont le devant pouvait s’ouvrir par de petits boutons dont elle avait pris soin de laisser les trois du haut ouverts. De cette façon, même si elle était menue, sa poitrine serait malgré tout visible.

Il la fixe un bon moment pendant qu´elle baisse les yeux. Il allait l´offrir juste un sourire. En change… Elle le déshabilla des yeux, imagina son corps, sa virilité, se vit le chevaucher… non, plutôt être dominée, voluptueusement dominée, pénétrée, et l’eau lui vint à la bouche, et son ventre s’embrasa. Le comportement des hommes de ce monde n´est-il pas le même lorsqu´il faut sauver un continent en perdition.

Le Centre pénitentiaire de Avaré était en effetconnu comme l´une des prisons les plus dures du pays vétuste et surpeuplée, près de trois cents détenus s´y entassaientdans une promiscuité épouvantable. Mais ce n´était pas la seule raison de ce transfert: l´avocat João accusé d´être un mafieu, voulait revoir son épouse Maria Cécile.

– Ça va, chéri?

– Mon amour, enfin! Repeta-t-il.

– João, chéri… Comment vas tu?

– Mal… Mon avocat veut que je plaide coupable, ça peut prendre des années de prison. Tout me fais peur.

– Pourquoi t´es inquiet en permanence?

– Ça a été dur dans une cellule. J´ai besoin d´entendre ta voix.

– Je sais…Ravie de te voir que tout va bien pour toi, chéri…Tu fais quoi de tes journées?

– Rien…

– Je pense qu´on devrais écouter docteur Alberto. Il veut l´avocat du diable en sa défense. Il avait m´a dit qu´avec un paiement rapide, tu serais à la rue à la fin du mois. Tu sais… Avec lui, les choses se font très vite. Vous pouvez laisser la prison en conditionnele.

– Selon l´avocat du diable c´est toi qui avait choisi la date. Je veux juste ton bonheur. A quoi tu penses?

– A quoi ? Sortir de la prison.

– Combien ça fait?

– Il veut 250 mil dollars comme payement de ses services d´avocat.

– 0K… Il aurat de l´argent liquide en trois jour. J´ai calculé les risques potentiels… Si ça pas marche, je dois le tuer. C´est essentiel à la vengeance. Renonce à la compassion.

Sept

Elle est dans le monde en état de poupée, totalement impuissante.L´avocat du Diable né en 1968 en São Paulo-Brésil, est avocat, ancien Membre du Conseil National des Barreaux et Ancien Membre du Conseil de l’ Ordre. Il a fondé le Cabinet d’ avocats portant son nom, composé d’une dizaine d’ avocats. Peu de temps depuis il allait ouvrir plusieurs casinos cladestins en tout le pays qu´allait lui donner le titule de milliardaire. C´est une des pratiques préféré d´avocat.  Les motifs? Libertinage, athéisme et occultisme… Personne ne peut intervenir.

– T´es un expert des vieux trucs. Adaptons le châtiment au crime. Il serait très fascile à eliminer. As-tu entendu parler de Bonnie et Clyde? Parfait, t´es Clyde, dit l´épouse.

– Non. Je ne suis pas si idiote.

– Je crois. Ça fait longtemps. Vous serez libre. Vous pourrez aller n´importe où.

– Les détenus, il y a des meurtrièrs, des infanticides, des fous, tarés. Il fait froid. Le mec qui est avec moi dans la cellule est un black qui dealait, taré. Elle  en a pris pour deux ans. Il n´est pas désagréable, mais il a lâché la dope et il suit un traitement de substitution à base deméthadone que lui devient très excité. Il a unmembreénorme que je le suce tous les nuits. Tu sais… Je suis détenu…

– Vous êtes un homme très généreux. Les gens sont méchants avec toi.

– Je suis heureux avec toi, Maria Cécile.

– Moi aussi.

– Bien sûr… Pour l´instant… La suite des événements doit rester entre nous.

– En fait, avec toi j´ai envie de croire à l´amour. Je vous comprends. Je suis aussi avec le jardinier tous les nuits. Tois mois de plus, ça changera quoi?

– Voyons… Je vais vendre l´un des mes fermes pour payer la justice. Les dettes. Il va falloir s´occupper du procès, Maria Cécile.

Entre autres choses… Certains disent que croire au destin revient à recuser le libre arbitre. Un libre arbitre impossible si le destin existe. Il faut trouner la page cet été… Elle croiait que chaque vie a un but précis et ça implique de croire au destin commun.

Il la regarda; elle n´avait pas changé depuis trois mois qu´ il ne l´ avait vue. Sans doute un peu plus maigre; les cernes sous les yeux étaient plus marqués; peu de chose. MariaCécile restait incroyablement belle. Elle se sent néanmoins d’ humeur nonchalante et ai envie de profiter de cette fin de journée en terrasse et d’ apprécier sa demi-solitude en observant le spectacle des passants. Il faut dire que regarder les gens dans la rue, surtout la gent féminine, est une activité que l´affectionne tout particulièrement.Avec son maridétenu dans uneprison… Elle n´avait prévu cette prison précipitée. Elle marchait sur le plancher comme dans un couloir du desespoir. Tout de désordres dans sa tête. Quand les relations de coeur ne sont en fais que des histoires de cul, elle s´apperçoit que l´amour n´est pas qu´une sorte de jeu de poker. Pas de larmes, pas de chagrin, juste une analyse de leur destin avec les hommes. Ce que l´obsédait… C´était de se dire que toute une vie ne lui suffirait pour la remplir son désir de sexe. La tension sexuelle monte toujours progressivement.

– Je suis prêt à vivre ma vie et ma libertée… Respirer, balader…Il faut dépasser les limites.

– On ne peut pas se fier à lui. Mais je dois éviter les détails sordides pour se concentrer sur son retour à sa maison.

La nuit est arrivé mais où allait finir ce soir? MariaCécile derrière la fenêtre regardait le trottoir de son destin, celle qu´elle avait toujours considerée en se disant : c´est vraiment con la vie. Elle sentait combien en fait elle était seule dans ce monde. Elle aurait bien  aimé qu´un inconnu lui prenne le bras, lui dise: « j´ai envie de toi… » Elle a besoin d´une chose en érection… Le sexe et l´alcool ont été pour elle la meilleure des thérapies. L´ heure est maintenant venue de partir à recherche de son trésor. Elle n´a plus rien à faire là. Elle est diablement efficace dans tous les domaines, une véritable perle rare.  Elle partit immédiatement à l’étage, son sac de voyage à la main.

Alors qu´elle sort sa voiture du garage, une belle dans une robe légère qui virevolte sur ses cuisses au volant. Elle est en train de se dire que la tenue est quand même osée… La route venait mourira l’ entree d’ un pont sur lequel deux solex auraient eu du mal a se croiser. La voiture ralentit sous l’ infime pression des piedsdu chauffeur et vint presque buter sur le parapet du pont. Il arreta le moteur et eteignit ses phares. Le noir reprit sa place, comme si quelqu’un avait eteint d’un clic la lumiere.  Elle regarda autour de elle. Personne.La voiture surfait comme pour atteindre le lieu, sans mal, sans incident de parcours. Elle se laissait porter par la vague d’asphalte. La nuit etait d’un noir solide, compact, entier. Aucune lune, aucun reverbere ne jetait de lumiere sur le paysage. La conductricerespectueuse du Code de la route, etait au point mort et laissait sa BMW avaler lentement la route.  La règle est dene jamais tenter le diable. Certains la croiront folle. Qu’importe! La réalité reste qu’elle nel’est pas. Sans réfléchir, elle met ses pas dans ceux de la conductrice, avance vite pour ne passe laisser gagner par le froid, rêve d’ un thé brûlant. Lorsqu ’elle rencontre l’ obstacle, il est troptard pour faire demi-tour.

L’ asphalte continue à défiler. Pas mal de questions passent dans sa tête pendant qu´elle fixe l’ horizon bitumé, mais une chose est certaine: elle n´est  pas d’ accord. Elle a envie de sexe. Il faisait chaud, les pneus collaient au goudron en crissant légèrement.

Le superbe de l’ autoroute en semaine, c’ est qu’ il n’ y a pas trop de monde, mais aussi que les mille-pattes circulent. Et à ce moment-là, il lui faudra vraiment toute sa concentration! Alors, elle  aperçut dans le faisceau des phares un panneau indiquant une aire de repos à 1500 mètres. En entrant sur l’ aire de repos, Elle ralentit au maximum pour bien repérer les lieux. Première aire de repos… Zut… Une station-service!.Après avoir coupé le contact et jeté un coup œil du côté de l’ autoroute pour s’ assurer qu’ aucune voiture n’ arrivait pas. Un gros camionneurbarbu bien sympathique la mate,  Elle s’ amusait visiblement de la situation.  Parce qu´elle était une aventurière sans peu, son cœur bat la chamade, l’ adrénaline lui rend folle,  dans sa tête défilent plusieurs scénarios.

Maria Cécile sort de la voiture pour se diriger vers la zone toilettes. Le parking est plein des camions et des camioneurs… Quoique… Elle était bien là! Alors, avec la pensée accompagnatrice de ses congénères voyeurs, Ils matent !  C’ est à ce moment que la portière du camion s’ ouvre et qu’ un homme en descend. Elle  le voit se dirigerdans la même direction, sans doute pour, lui aussi, satisfaire un besoin naturel.  Elle  s’ aperçoit qu’ il est très bel homme. Il lui tend la main et lui félicite pour la beauté. Il mate ces jambes offertes, cette petite robe très prometteuse et cette allumeuse qui ondule du cul en digne représentante de la gent féminine. Un récital de compliments d’érotisme, l’ode sensuelle et quasiment bestiale à la fée.

Les yeux brillants de Cécile semblent vouloir dire: « Je veux que oui… quand  même ! »La blonde s’ avance à quelques mètres pour se faire admirer que non seulement sa robe est bien devenue une mini, mais aussi que ses cuisses sont vraiment toujours aussi sexy. La tension sexuelle monte progressivement.

–  Je vais me sentir pute dans cette tenue. Mais j’ aime…

Une cascade de cheveux blonds et un sourire tout aussi lumineux viennent éclairer une tenue qui, pour sombre qu’ elle soit, est très élégante.Elle rumine de drôles de pensées au fond de son crâne. Un routier  l’adresse un sourire accompagné d’ un très poli…  Son cœur bat fort, comme celui d’ un jeune amoureux qui retrouve sa dulcinée. Elle l’ adresse un sourire en coin. Okkkayyy!  Ils décidaient donc de faire réaliser ces analyses rapidement, et dès qu´ ils auraient les résultats, ils pourraient donc programmer une soirée « chaude ».

Un regard vers elle et il constate qu’ elle aussi semble émue avec le rouge de ses joues, son sourire magnifique et ses yeux qui pétillent. Le jeu te plaît de plus en plus. Elle sent ses seins durcir. Ses tétons aussi. C’ est presque douloureux. Elle a de plus en plus de mal à se retenir.  Elle a envie de faire l’ amour. De se laisser prendre là, tout de suite. Sans fioritures ni préliminaires. Un désirviolent, impérieux.

– Bonjour, ta robe est vraiment magnifique, lui dit-il.

–  Bonjour. Est-ce que tu me dragues?

– Oui… Mais tu m´trouvé.

–  Tu penses à la même chose que moi? Elle est directe.

– ÉVIDEMMENT… Me confirme.  Oui, je sais que tu en serais capable.

– Dites-moi si vous aimez ces jeux. Aimez-vous être exhibée, ou vous exhibe? Provoquez les regards? Cela vous excite-t-il?

– Oui… Beaucoup…

– Tu es franchement à croquer…  Tu fais plus jeune que ton âge. Ça me fait réellement plaisir de te voir en vrai,  vous êtes encore plus jolie de près. Tu es vraiment vraiment très belle!

– Merci, tu exagères quand  même.et toi, tu es très beau aussi!  Et maintenant, je peux savoir ce que tu as en tête? Tu veux que l’ on aille où?

– Alors je te suis, tu connais mieux le coin que moi. Une belle femme, provocante et perdue.

L’occasion ne tarda pas.Belle comme le jour, blonde, mince, élancée, dotée d’une belle poitrine, et toujours habillée sexy. Elle aime les hommes attentifs au plaisir de leur partenaire, ils savent avoir la patience de les satisfaire avant de se déchaîner pour, à leur tour, prendre tout le plaisir qu´elle est  prête à leur offrir. Cette nuit-là, quand elle accompagna cet homme elle ne pensait qu´aux sensations, les plaisirs qu´elle recherchait totalement dépendant de son besoin de contrôle. Elle adorait jurer de plaisir. Elle se mordait les lèvres de désir. Il s’ approche et il lui prend la main en lui demandant:

– Est-ce que je peux? Il y a tellement longtemps que j’ en rêve…

–  Bien sûr, lui répond-elle.

Ses pensées s’agitent. La situation me paraît irréelle. Il ne peut y avoir de doute sur les intentions de Cécile à son égard.  Elle voit un sourire illuminer son visage. Elle a un large sourire ainsi que de belles dents blanches. Elle sait qu´elle plaît.

Ils marchaient  vers son camion. Mais son cœur bat. Elle dirait même que sa poitrine est près d’ exploser, que son corps entier s’effondre sur lui-même. C’ est en effet le but du jeu. L’abandon total. Le chaos.

–  Nous allons au camion.

– Hummmm, avec plaisir… Je crois que ça va me plaire… Oui, j’ ai envie d’ essayer ! De plus, pas de danger, mon mari  habite loin d’ ici!

– Tu vas me prendre pour un sauvage. Je ne peux me retenir, desolé.

– Moi, dans un camion? C´est tout de bon. Pas tous les jours… mais je suis déjà monté quelques fois dedans.

–  Ah, OK…  Tu ne vas pas me laisser dans cet état? lui dit-il.

–  Comment ça? lui répondit-la blonde.

C’ est qu’ en voulant monter sur le camion,  une jambe de son véhicule pour la poser sur le marchepied, elle ouvre largement les cuisses et l’ offre une vue imprenable sur son entrejambe. Il l’ aperçoit immédiatement qu’ elle est nue. Il a la vision d’ une chatte imberbe en train de se tourner vers lui. Il saisit alors sa main et la posa sur son jean à hauteur de son sexe et elle découvrit qu’ une bosse éloquente s’ était formée dans son pantalon. Comme il  ne retirait pas sa main elle la frotta sur cette bosse ce qui eut pour effet de la faire grossir encore plus et par la même occasion de chauffeur son minou.

–  Le spectacle t’a plu: je vois que tu bandes. À bientôt, peut-être!

Elle lui prends la main, elle la passe en dessous de sa robe, pour poser sur sa chatte:

– Oui j’ avoue que tu te dépasses, j’adore ! Et c’est top que tu prennes autant d’ initiatives!

–  Bien, tu me trouves sexy, et alors?

– Alors? Alors… c’est cool, non? répondit-il, en se donnant l’ air le plus sérieux possible.

– Tu montes?

– Allons-y.

Huit

Sans personne aux alentours, pour profiter du calme, mais surtout pour pouvoir le câliner tranquillement. Le sexe tendu à l’extrême, lui qui n’ avait jamais osé faire quoi que ce soit de répréhensible était prêt à tout. Alors, comme dans un rêve, elle a approché sa main tremblante de l’ énorme phallus. Elle l’a frôlé doucement. Impossible d’ en faire le tour d’une seule main. Sa peau était douce, comme celle d’un petit chat tout chaud qu’elle caresserait doucement.Elle a toujours été assez directe pour le sexe.

– Fais-moi une petite démonstration de tes grands talents buccaux…

Une fois installés, la chaleur dans le camion montait, ils étaient en sueur. Maria Cécile sentait bon. Elle aimait ce goût étrange tout comme elle ne savait pas pourquoi elle affectionnait l’ odeur de l’ essence des camions. Elle se mord les lèvres de gêne et de plaisir.  Il recevait une de ce pipe dont elle avait le secret. Penchée sur lui, elle l’ avalait goulûment. En mettant beaucoup de salive, comme il l’ appréciait grandement. Sa langue bougeait soigneusement sur l’extrémité de sa queue, juste avant qu’elle ne l’avale de nouveau, la mettant au complet dans sa bouche si chaude. Lorsqu’ elle le branlait en même temps, c’ était le paradis. Sa bouche chaude et humide allait et venait et laissait s’ écouler pas mal de salive jusque sur ses couilles.

Le désir monte en lui et alors qu’ un petit cri de jouissance lui parvient, il  ne peut  plus se retenir et de longs jets de sperme fusent maculant la chatte d´elle. L’ orgasme arrive d’ un coup et la foudroie dans son siège. Elle sent que son corps est couvert de sueur. Son sexe palpite quand elle rouvre les yeux. L’ homme s’est retiré, elle voit sa main sur son sexe étincelant de mouille. Il se caresse et jouit sur son ventre, dans un cri cassé. Il ne lui fallut pas longtemps pour le faire jouir et elle sentit ses longues giclées chaudes et salées.  Quand il s’est retiré une grosse quantité de sperme est sortie du vagin de la blonde encore ouvert par la grosseur de l’ engin.

La tension sexuelle retombe doucement. On se câline, s’ embrasse. Puis l’heure de la séparation arrive. Elle se promet de se revoir rapidement. Cette nuit elle se sentait invisiblement possédée et, dans son rêve, elle s’ abandonnait à l’ étreinte, elle en jouissait éperdument.

– Mon Dieu! Faites que je sois grillée en enfer, seigneur tout puissant, car j´ai bien peur d´ être une salope.

Enfin, une clef dans la porte, des voix… Et la lumière du salon vint éclairer son écran, sur lequel le mari apercevait son épouse refermant la porte.  Une brusque montée d’adrénaline lui fit frémir. Elle le remercia d’un large sourire, posa deux verres sur la table basse, versa le liquide doré sur les glaçons puis se laissa tomber dans le canapé en soupirant:

– Hummm… Enfin, un peu de calme!

– Oh que si! C’est encore bien plus agréable ce soir! Dit-elle

– Viens plus près de moi, ma belle… Offre-lui ta bouche.  Chuttt… J’ ai encore envie de tes caresses… De tes mains, de ta bouche, et plus encore… Plus le temps passe, plus je suis amoureux de ma femme, mon ange (ce qui est normal !) et plus j’ ai envie de jouer avec l’ adorable démon qui se cache derrière son regard pétillant, son charmant sourire, à des jeux multiples et particulièrement… chauds ! Cécile, laisse-moi profiter de ce petit moment de bonheur.

–  Tu m´ as fait découvrir les plaisirs du libertinage.

– T´as la bénédiction du mari, c’ est le rêve!

Quant à ses jeux libertins, ils progressent dans un climat de confiance réciproque qui les offre des sensations toujours plus variées.  Puis elle se leva, se dirigea vers les toilettes, passant lentement devant les trois inconnus avec une légère ondulation des hanches pleine de provocation.Elle adore reluquer les sexes d’ hommes, que ce soit dans les films pornos, les sites où les mecs montrent leur queue pour la comparer, ou encore même ceux qui urinent avec leur engin dehors.  Il s’ arrive parfois quand elle est toute seule dans une galerie marchande de faire mine de se tromper en entrant dans les toilettes pour hommes pour apercevoir le pénis de ceux qui utilisent l’ urinoir, d’ un peu loin pour ne pas recevoir de gouttes. Son mari avait sorti de la prison…

Le lendemain matin, Maria Cécile s’ éveille de bonne heure. La nuit fut bien plus calme… Savourant son café sur la terrasse, elle était encore pensive.   Elle profite des premiers rayons de soleil. Ah! donner sa vie, sa beauté et son amour à un homme supérieur et vaincu, son mari… Elle sait bien que la vie est courte.Vivre en femme libre… vivre son propre destin… Un frisson agita la frêle feminine emplie d’ imaginations ardentes et frénétiques.

Un dernier coup d’ œil dans la glace, elle y voit le reflet d’ une femme encore très désirable, légèrement maquillée, aux formes épanouies et orgueilleuses. Sa robe n’ est ni trop courte ni trop longue, mais elle persuadée qu’ assise, elle doit dévoiler ses jambes assez haut pour charmer les regards. Le désir lui saisit à nouveau, son corps s’ enflamme doucement.

Le soleil chauffe à cette période de l’ année et elle doit dire que les rayons se posant directement sur son sexe plutôt dégarni font monter la température!  C’ était une agréable sensation que de goûter la chaleur du soleil irriguant son corps tout entier, en même temps que la fraîcheur qui s’ insinuait sous la robe pour remonter jusqu’ à son entrejambe.  Bien sûr, elle était libre de mettre un terme à cette aventure.Une puissante énergie l’ animait ainsi que la sensation de s’ être libérée de quelque chose.Maria Cécile décida alors de pousser l’ expérience plus loin et de choisir elle-même sa prochaine victime. Comme une araignée qui tisse sa toile, elle allait guetter sa proie.

– Ahhh l’ été, cette chaleur, ces tenues légères auxquelles nous ne faisons pas exception, se disait-elle.

Le vent souffle, son front n’est plus qu’ une barre de douleur givrée tandis que ses yeux pleurent et lui embrouillent la vue.  Autour d´ elle, les gens marchent prudemment.  Maria Cécile est rattrapé par les bruits de la ville: les klaxons des véhicules qui se tamponnent, les sifflets des policiers emmitouflés qui règlent la circulation, les gyrophares allumés de leurs voitures de patrouilles venues disperser un embouteillage, provoqué par une collision entre deux camions au carrefour. C’ était le jour des soldes et elle avait décidé de faire les magasins…Elle se promena dans le quartier des chics de São Paulo, allant de boutiques en boutiques. Elle vit une robe qui lui plaisait exposée dans la rue, elle décida de l’ essayer. Puis… Prenant son sac avec la robe, elle.A son habitude, tout en marchant, elle regardait à droite et à gauche pour juger de l’ effet qu’ elle produisait. tout d’ abord elle n’ en manifesta rien; après l’ avoir survolé sans changer d’expression ses yeux atterrirent sur la vitrine de bagage de luxe. Au bout de quelques pas (elle n’est quand même pas si conne), prenant conscience de la mesquinerie d’un tel comportement, elle se retourna… Il contemple son œuvre quelques instants puis se penche et fouille les poches et le sac à main. Il n’ y a que quelques dollars dans une pochette, un étui plein de cartes de crédit, un tampon hygiénique de secours, des clés, du maquillage. Il fait le compte, il y a vingt-cinq dollars, rien de plus, une vraie misère.

De retour un peu plus tard, elle déposait ses courses. Elle avait envie de prendre un pied d’ enfer et donc pour cela de faire monter la pression pendant toute la soirée pour finir en apothéose.Elle avait remarqué dans son immeuble que le voisin du dessous, homme black, mais encore alerte, marié à une femme revêche, ne manquait pas une occasion de la reluquer. Elle en avait fait un jeu et depuis chaque fois qu’ elle le croisait, elle s’ arrangeait pour prendre des poses sexy. Elle avait noté qu’ il descendait chaque soir sa poubelle vers dix heures trente, puis qu’ il fumait une cigarette dans le local à vélo à coté du local poubelle qui donnait sur la cour intérieure. Un soir qu’ elle était d’ humeur égrillarde, vêtue d’ une paire de mules à talons et d’ une nuisette transparente et si courte qu’ elle dévoilait la bas de ses fesses, elle descendit avant lui au local à poubelle. Elle attendit et quand elle entendit son pas dans l’ escalier, elle prit sa poubelle vide et fit semblant de la rincer au robinet du local à vélo. Un bruit de pas et de voix troubla soudain sa songerie magnifique. Il l’ observe, le regard perçant, plein de malice, troublant, pervers. Elle se sent particulièrement gênée, vulnérable, mais elle adore ce regard insistant porté sur moi qui la dévore et la conforte dans son statut de petite chose timide et pudique, impressionnée. Une gêne émotionnelle parfaitement délicieuse. Elle se rend compte à quel point elle était attirée par cet homme qui lui trouble totalement, leur fait perdre ses moyens, ses mots.

Quand l’ homme passa devant le local à vélo, sa poubelle faillit lui échapper des mains. A la vision de ce cul rebondi, une érection comme il n’en avait pas eu depuis longtemps lui tendit le pantalon de pyjama. Cela ne fit ni une, ni deux, il s’ approcha d’ elle et saisissant ses deux seins, il lui plaqua la croupe contre son vit qui s’ échappait de sa braguette. Elle joua les mijaurées tout en remuant sa croupe pour l’ exciter encore plus. Il n’ en revenait pas. Cela dépassait ses espérances les plus folles. Après l’ avoir bien humidifiée avec sa salive, elle se recula pour s’ asseoir cuisses écartées sur un caisse qui se trouvait là, elle défit le noeud de la ficelle qui tenait le devant de sa nuisette. Ses seins jaillirent libres, elle attira l’homme vers elle, emprisonna sa bite entre ses mamelles en les serrant l’ une contre l’ autre avec ses mains. Détachant le bouton de son pyjama, le black fit tomber son pantalon sur ses chevilles et remontant sa veste sur son ventre, il se mit à aller et venir dans l’ étroit sillon formé par la gorge opulente. Elle est énorme au moins 25 cm bein dure et nerveuse… hummm un délice.Il saisit sa vergue entre le pouce et l´index et la maintint en position verticale; tel un obelisque victorieux. La sensation lui sembla irréelle tant son envie était impérièuse. Plus elle caressait cet engin, plus son excitation augmentait. Elle avait approché son visage.

La femme maniait cet objet avec douceur et agilité. Devant lui, le gland gros comme une prune semblait lui narguer de son petit œil duquel s’ était échappé tant de sève hier. Du bout de la langue, elle avait lapé une petite goutte de rosée qui suintait. Elle l’ avait entouré tendrement de ses lèvres avant de l’emboucher, puis de l’immobiliser. Le gland dans sa bouche, elle avait serré la main très fort sur sa hampe. Maria Cécile le sentait palpiter. Chaque fois que le gland apparaissait au sommet, elle le léchait. Elle le suce, aspire, lui lèche c’ est grosses couilles… L’ homme n’ en pouvait plus, il éjacula à grands jets, éclaboussant la bouche, le menton et le dessus des seins. Le temps qu´il reprenne ses esprits et qu´ il enlève son foulard de ses yeux, il était parti, leur laissant là, pleine de sperme, les jambes tremblante… Ses souspirs extatiques, interminables la suffoquaient l´ âme inondée de plaisir. Sans aucun remord elle retourne chez elle.

Dans le jour suivant,  vers six heures du soir, sous les joyeuses lumières des guirlandes de Noël, illuminant ce quartier très chic de l’avenue N.S. de Copacabana et ses magasins de luxe. Elle a un rencontre avec l´avocat de son mari. Après quelques minutes d’attente.

Alors qu’elle reprenait son souffle, rassérénée, il l’observait, la détaillait… Dès lors, son imagination perverse vint prendre le pas sur tous les autres clichés qui pouvaient venir occuper son faible esprit d’homme pour exciter son curiosité reptilien son cerveau toujours en besoin. Elle frémit juste un peu. Elle ne frémit pas beaucoup plus quand il la saisit pour le cou.  En découvrant le regard d´avocat proche de la panique, elle avait éclaté de rire avant. Elle n’y a pas réagi de la même manière que ceux qui sont à présent en face d’elle.  Bizarrement, à ce moment…  Il la relâche, une idée perverse vient de traverser son esprit. Il s’approche d’elle.

–  J´esperais qu´on pourrait parler. Je vous déplais? N’ayez pas peur, je ne vais pas vous manger !

– Non, pas du tout! Pardon… Mauvais choix de mots. Vous êtes tout à fait belle et désirable. L´épouse de mon client. Il m´a engagé pour le défendre.

– Ok… Parce qu´il y a une bête qui veut le tuer. Ça n´est pas bon… Mais qu´est-ce que tu fais jusqu´alors? Ça c´est une surprise.

– Non… Nous avons un gros problème?

-Ah merde, je ne peux pas rester comme ça!

– Ok. Je vais essayer. Pas grave, c’était un accident involontaire!Après quelques tentatives décevantes, je pense que tout va marcher… Je veux clore le cas non résolu.

– Tu n´as pas peur. Je veux bien le croire… Mais dejà se passé 30 jours et rien. Il lui avait payé en liquide pour ses services. Il est un homme très dangereux, même dans une penitentier.

– Entendu. Je pense queje besoin d´une semaine.

– T´as perdu complètement la notion du danger. Il t´attend avec sa liberté, et vous rien… Non… Une semaine c´est sa denière chance. La libertée de mon mari me suffira.

– C´est une menace?

– Il n´y a pas de bon moyen de le dire; mais voilà. Tu ne me reveras jamais. Plus simple ça sera pour tout le monde.

– J´ai essayé de t´éviter tout ça. Arrêtons la comedie. Prepare-toi au pire. Je dirais que c´est trop tard. Tu devras mourir. Tu vas être éliminé rapidement avant que tu puisses s´enfuir.

Il allait rentrer dans sa voiture quand deux iconnus dans une motocyclette et le tue avec plus de 12 coups de feus et partent vite. Maria Cécile avait assisté tout de près bouche bée… Le journal de la TV: « Aujourd´hui, dans l´après-midi des témoins ont vu un homme masqué et armé sur le parking du Shopping Center Royal courir jusqu´une Mercedes Bens noire garée où la victime était assise. L´avocat du diable est mort. Apparement l´avocat du proprietaire des casinos clandestins, detenu en prison d´Avaré, s´est  fait abattre dans le parking du Shoping Center Royal. Les ambulanciers ont reçu un appel concernant une fusillade. Un peu avant 15h. La prense avait divulgué qu´ a été saisie un million de dollars et 14 personnes detenus dans le casino clandestin de João Fernandes Fagundes. Tous eux font fermées par la justice. ».

Le jour suivant, elle avait reçu un telephonème de la pénitentiaire, c´était son épouse:

– Maria Cécile?

–  Oui, c´est moi…

– T´es bien chérie?

– Un peu preocoupée. Fini l´énergie néfaste. Son avocat a été tué. Comment vous savez hier  dans la journée  le célébre avocat du diable a été retrouvé morte.

– Je sais, on ne devrait pas mentionner si on peut éviter. Tu crois que la police pense qu´on l´a fait ?

– Tu parle d´un téléphone dangereux.

– Non… C´est un portable d´un garde.

– Ok. T´es dans tous les journaux. Le detenu João Fernandes Fagundes est suspect d´être l´interessé pour la mort de son avocat. L´épouse du suspect était liée à plusieurs scènes du crime.

– Tu as peur?

– Oui… C´est complètement perdu… Et toi?

– Nous devons être sur la défensive. Pourquoi on tuerait mon propre avocat? Demanda João.

– Je sais, mais enfin… Il y a énorménte de terreur tout autour. Ce serait pas une première.

– On est plus fort ensemble. On a besoin d´une histoire. On doit s´unir au cas où ils nous accusaient de quelque crime. On doit rester calme pour pouvoir tirer ça au clair ensemble.

– La police afirme que c´était un de nous. Ton societaire m´a convoqué à un rassemblement demain soir.

– Nous besoin de lui.  Tu dois faire tout pour lui plairer.

– Tu sais qu´il est fou de moi. Quoi faire?

– Tu le trouve laid?

– Non… Il est un homme intéressant.

– Faites toi pour moi.

– Ok… Je vais faire…

Neuf

Comme à l´accoutumée, elle s´était choisi une tenue on ne peut plus sexy sans fausse pudeur et sns mensonge, Le lune persistant de la fin d´été et ses tampératures agréables ont ainsi pousse son invitée à  arborer une robe blanche légère et plutôt courte qui épouse à merveille les rebonds de son délicieux fessier d´une partet met en valeur par un décolleté ni trop timide ni trop révélateur, sa poitrine imposante et mouilante ce qui ne cache rien de son anatomie. Sachant qu´elle n´a pas mit de soutien-gorge pour cause de gros seins etque la petite culotte blanche, elle aussi trempée que ne cacche pas grand-chose non plus.

– Merci pour venir ici. Je suis ravi de la voir.

– Mon mari a été arrêté pour les casinos clandestins. Il sera exposé sur les médias. Il est incarcéré.

– Il allait survivre. Je pense qu´il fait une erreur. Il voulait affronter les conséquences. Vous pouvez me dire quelque chose sur la mort d´avocat du diable?

– Rien de rien. La police va fouiller le rues et nos adresses cherchant les assassins.

– Ils faisant son boulot. Oui, c’est bien l’objet de ma visite chez vous, Dr. Alberto.Il était en redevable avec ses clients, il cherchait des problèmes. Tu sais… Chaque trahison commence pour la confiance.

– Ils ont une photo de vous dans la scène du crime.

– Très, préccupant…J´en marre d´écouter. Je n´ai pas tué l´avocat du diable. Un tuer inconnu aurait pu le tuer, pas moi…

– J´ignore quelle aide je pourrais apporter là, avec cet orage dans le médias. Ça doit rester entre nous, mais son mari est vraiment un monstre. Il tue les gens. Il embouches des tueurs à gages.

– Il fait son boulot.Il ne frappe jamais personne. Quand quelqu´un qui deplaît vraiment, il le tue, et n´a jamais retrouvé le meurtre.

– Alors… T´es tellement désesperée… C´est pathètique. Tu n´inquiète pas de ce qu´il pourrait dire. Il appartient à une societé secrèt, un groupe de puissants mafieux italiens dont les identités sont gardées secrètes. Il est vraiment un gangster. Peu import ce qu´il vous est arrivé, je suis désolé, Je suis vraiment désolé. J´avais me refusé de faire parte d´un truc, genre complètement fou. Absolument pas. Il agi  pour son propre risque. Je vois la noirceur adejecte de son coeur.

– J´essaie de garder le coeur et l´esprit ouverts. Je serais perdue sans toi. Tu dois imaginer ma separation forcée, c´est l´occasion de grandir, dit Maria Cécile.

– La mort de l´avocat de son mari va apporter d´énormes problèmes. Je suis avocat aussi. Je suis loyal à son mari, tu sais…. Je m´en occupe. Je ne joue ce type de jeu. Je vais penser en nos défendrer. De cette fois il fait merde… Il assume seul conséquence de ton empessement.

– Je vous ai compris. Je comprends votre point de vu. Dans la vie il y a des gens, bien et de pourritures comme cet avocat des enfers. Les gens de bien c´est nous. Oublions mon mari. C´est de justice dont il est question. Conserver ce qui nous appartient.Il s´agit de mes entreprises et de mon nom. Je ne me laissait intimider par personne. Hummm… Merci mille fois de m´avoir écouté c´est rarisseme pour une femme,

Gros silence… Elle lui regarde sans lui voir, perdue dans ses pensées, pui  elle lui jette un regard assassin. Les qunquêteurs avaient faite une investigation sur la vie de la belle Maria Cécile. « La Diva des casinos ». C´était une blonde, belle qu´adore la nuit. La dame de la mauvais sorte. Elle menait une vie sociale bien remplie du mode. Elle était une grosse buveuse à la fois. La blonde était snob et elle ne parrlait jamais avec inconnus. Par elle la vie est une fête. Son mari avec les pieds sur terre savait qu´elle n´était plus réservé, mais très séduisante. Maria Cécile avait l´habitude de se faire draguer dont elle était prudente. Le couple était très  apprécié des autres plaisancers.

– Une envie de casser la routine. Je suis libre, maintenant. Qui sait. La situation m´amuse, je me laisse faire. Et puis, ça met un peu de piment dans ma vie. J´avais jamais oublié que les hommes comme ça sont fortement intéressés par des putes.

– Tout le plaisir est pour moi! Maria Cécile! Écoute, serieusement, ce n´est pas personnel. Mais tu es épouse de mon ami.

– Vous ne pouvez pas faire ça, me rejeter. Est-ce qu´opn peut gérer ça? On peut le gérer?

– Super… Maria Cécile… Tu fais arrêté mon coeur.

– Moi aussi. T´as intéresse?

– Oui… Beaucoup…

– Il n´a pas besoin d´en savoir. Je veux bien le croire… T´es un sale perverti. Cela doit être la raison pour laquele les femmes le trouvent attirant. Je suis une femme aussi, n´est pas?… Vous permettez?

Elle reste debout… Puis avec naturel, elle ôte sa culotte.  Une scène d’une beauté à couper le souffle. Maria Cècile decroisa les jambes s’enhardit à entrouvrir ses jambes. Elle relève un peu sa robe. Son minou rasé est exposé. Le docteur en face n’en perd pas une miette, il mate. Un sourire magnifique éclaire son visage.

Elle lui ouvre un peu plus les cuisses, pour qu’il puisse bien voir. Ils restaient  un long moment ainsi, elle, le sexe exposé. Elle ouvre encore un peu plus ses cuisses.  Il la regarde, belle et sauvage, une vraie tigresse… Volontairement ou non, la femme l’offre un tableau très sexy, très impudique même, mais c’est justement dans l’exhibition et le voyeurisme que loge la jouissance érotique. Et elle doit l’avouer, être vu à ses côtés, lire le désir dans les yeux de cet homme à son égard est étonnamment agréable… En tout cas pour elle! Elle lui montre tout. Elle lui murmure qu’elle adore cette situation.

–  Oh oui ! J’en rêvais… je n’osais pas, j’avais même mauvaise conscience et aussi des remords.

– C´est bizarre que tu ne t´aies pas aperçu avant ce jeu. Ça te choque? Lui demandait elle.

– Oui- T´est très tentant !Non… Sa presence c´est coïncidence… Coïncidence. C´est ça. Pardon si je doute, ça fait trop de coïncidences.

– Que souhaitez-vous de moi à présent? Auriez-vous envie de me prendre?

– Tu sais combien tu me plaît.

– C´est pathétique… Mais je le trouve un homme intéressant.

–  Je crois que vous êtes un fin connaisseur des enfers.

– Belle métaphore!N’est-ce pas le but du jeu? Je suis toute à vous. Faites ce que vous voulez de moi, votre soumise, votre chose, votre chienne!

Elle trouva enfin un homme qui d’emblée la fascina. Appuyé contre le mur, Maria Cécile sent son membre dressé comme un pieu. Quand son pieu de chair entre en elle, Maria réprime un petit frisson, celui de l’interdit. Un autre homme que son mari est en train de la baiser. C’est excitant, mais c’est un jeu qui peut devenir dangereux. L´homme a introduit le pénis en elle jusqu’à la garde et a commencé, vigoureusement et profondément, à baiser bruyamment avec elle-même. Elle gémit, elle crie, elle se tord sous cette multiple agression. il l’enfonce en elle encore plus loin, presque jusqu’au bout de ce qu´il peut. L’instant d’après, c’est avec une grande satisfaction qu´elle sent une bonne bite s’enfouir en elle, la nouveauté, ça a du bon! Les vagues de plaisir sont de plus en plus fortes et se suivent..

Repue, satisfaite, elle s’étire comme une chatte comblée. Elle a découvert avec son amie des sensations inconnues jusqu’alors, sensations différentes. Il ne voit pas le balancement sensuel de ses hanches au sortir de la pièce.  La plus belle femme du monde.

– Écoute! Si on te demande,  on a passé la nuit ensemble, tu diras que non.

– Ok… C´était génial. Me dis pas  que t´as pas aimé?

Puis de ça… Maria Cécile dormait si paisiblement. Elle ne voulait pas se réveiller.

Maria Cécile adorait les mauvais garçons. Surtout les très mauvais. Maintenant elle a décidé qu´il fallait changer de vie.

Jours plus tard… Maria Cécile était devant un enquêteur dans la centrale de police criminale. Jour plus tard… Maria Cécile étalt arrivée au poste de police Maria Cécile est accueillie par un enquêter qui la conduit dans une salle. Il s´assoit en face d´elle devant son ordinateur.

– Sa robe c´est du Versace, je connais les classiques. Asseyez-vous, Madame.

– Merci… Je suis impressionnée.

– Vous connaissez sûrement pour son implication sopposée dans le crime de l´avocat du diable. La prense la surnomme de la dame de noire que repondez-vous à ces accustions?

– Vous avez de preuves? Implication supposé, c´est correct. Je suis innocente.

– Alors, pourquoi vous êtes ici si vous êtes blanche comme neige? Vous risquez la prison.

– J´ai rien fait de mal. Je veux qu´on foutre comme traînée en prison.

– Êtes-vous impliquée dans le crime de l´avocat? Si vous me dites tout, vous aurez une protection totale. Cet interrogatoire a pour  but d´expliquer ce qui se passé.

– Non… J´ai dit que je savais pas.

– Quand on veut, on peut, non? Quel est son métier?

– Pas besoin… Je suis une femme riche.

– Son mari commandité la mort du avocat?

– Je n´en sais pas. Mais je sais que beaucoup d´innocents finissent en prison.

– Mais ce n´est pas moi qui suis accusé de meurtre. Alors, de quoi l´on pouvait t´accuser?

– Madame Maria Cécile! J´ai un mandat de perquisition contre vous. Tu t´avais garé une Jaguar XK8 rouge juste là, avant d´un meurtre. Une voiture de 200.000 dollares.

– J´adore les Jaguars…

– Écoute! Décrivez-moi juste les tueurs qui étaient là, près de vous.

– Se traite de tueurs à gages. J´aimerais bien vous aider, mais je ne peux pas.

– Nous parlons d´un meurtre.

– Je sais… Le corps est mort; mais l´esprit rêve encore.

– Et t´es dans la merde.

L´ interrogatoire n´ allait nulle part et il ne savait pas quel bout le prendre. Il avait beaucoup de mal à se concentrer sur autre chose que le som de sa voix. Elle a un visage d´ange et de longs cheveux blonds et lisses avec un frange sous laquelle brillent de magnifiques yeux bleux, de très jolies jambes biengalbées, de fesses rebondies, une taille fine et une généreuse poitrine. Tout inutile. Le policier est gay, pédé. C´est  une période difficile dans la vie de Maria Cécilie, après un mariage perturbée.

– Dis-moi la vérité, c´est tout rien de ce que tu diras il ne peut-être pas retenu contre toi. Alors profite-en. Tu dois parler la vérité. C´est un crime menter à un agent Fédéral.

– Vous-êtes amante du docteur Alberto Castanheira? Tout le monde la prend pour une tarée.

– Non… j´avais allé à son appartement demander d´aide. J´ai le seduit. Il ne me draguait pas, ni rien.

– C´est un ami de son mari?

– Mon mari a des affaires avec lui depuis moins d´un an.

– Soupçonnais-tu que ça puisse arriver? Tu paierais sur quelqu´un qui a couvert un meurtre?

– Non… Si Alberto sait qui est le tueur. Il faut qu´il le reveille.

– Dites-nous qui payé les tueurs. Revenez à réalité, vous echapperez de la prison.

– C´est le boulot qui l´a tué.

– Une femme belle comme vous, pourquoi sortir avec des hommes qui finiront en prison? Que se passe-t-il dans sa tête?

– Je ne sais pas.

– La richesse est parfois dangereuse. Son mari est coupable de plusieurs crimes graves… De corruption et evasion fiscale. La victime était associé principaldes casinos clandestins.

– Aucune des idées… Votre rôle est d´inculper pas de condamner.

– Une inculpation basée sur des faits.

Elle savait de quoi vivait son mari, sans pour autant connaître ses actions. L´assassinat de l´avocat du diable avait toute les caracteristiques d´un reglement de compte.

– Quand tu tues une personne, c´est le début du déclin. Tu vas te sentir de plus en plus minable. De plus en plus perdue. Vous allez tomber pour ça.

– Arrête de jouer de victime. Nous savons que t´t´avais parlé avec la victime minutes avant de la execution. C´est grave, ça…Vous êtes accusé d´homicide volontaire sur la mort d´avocat du Diable. Nous avons les preuves à notre disposition.

– Vous allez m´arrêter? Pourquoi? On ne fait que parler…

– Pourquoi son mari João Fernandes Fagundes avait tué son partenaire d´affaire Docteur Alberto Silva.

Maria Cécile est en larmes, et le policer tente de la réconforter en la serrant aussi fort qu´il le peut dans ses bras.

– Oh mon Dieu, c’est horrible, je n’arrive pas croire qu’il soit mort. C´est vrai? Pas sais sur sa mort. Il est fou. Complètement fou. Comme ça il allait prende 100 ans de prison.

– Il fut assassiné hier. Ils vont analyser la scène de crime en présence de spécialistes des scènes de crime.

– Deux choses… D´une j´ai rien avoir avec ça. De deux je m´en fou de mon mari. Je ne puis rien pour t´en empêcher. Le sang de ses ennemis arroserant notre jardin. Peut-être pour faire taire cet voix diabolique. Dans sa tête.

– Es-tu impliquée dans ce crime? Pourquoi vous aviez les clés de son appartement?

– Il me confie ses clés que lorqu´il part en vacances. Ma ça ne signifie pas que lui et moi, on ait relation amoureuse. Je ne suis jamais avec lui.

– Non… Non…Beaucoup de choses qui prouvent que vous étiez plus que de simples amis. Je dois avouer Maria Cécile que vous m´avez déçu.Ce qui m´agace le plus. Vous étiez amante… Vous êtes une menteuse.

– Claire que non… Je penserais sérieusement à trouver un témoin en ma faveur. Je ne sais pas de tout que mon mari soie capable de faire. Il est plein de trucs horribles quand il était une bête.

– Tu vas besoin, vite… Quelqu´un qui était sur les lieux et qui soit prêt à témoigner devant un jury pour vanter tes qualités.

– Très difficile, dit Maria Cécile.

– Meurtre.Alors, nous voulions utiliser tous les moyens possibles pour la condamner…  On a la preuve que t´était sur le lieux du crime. On pourrait vous accuser de complicité. Une méchante femme doit respecter les régles. Je vous arrête pour meurtre.Maintenant, vous êtes en état d´arrestation! Il y a mandat d´arrêt pour vous.

– Pouvez-vous risquer de la caution?

– Pas de caution. On mène le jeu. Maintenant, c´est moi qui décidait. Tu parles la langue du diable. Vous êtes accusée de participation en deux meurtres, Belle riche et dangereuse. Je vais te mèner jusqu´au juge. Tu seras détenue.

Elle a été faussement accusée pour la mort d´Alberto Silva. C´est qui l´implique comme quelqu´un que le controlait. Tout au long de ce procès Madame Maria Cécile a été incapable d´assumer la responsabilité de ses actes au contraire, elle se positionné en victime. Alors que c´est pas elle la victime… Ils ne tuent pas par motivation sexuelle, mais pour des choses aussi dérisoires que l´argent sale. Le contrôle, le pouvoir,  la jalosie, voire même pour cacher un secret… Ils sont tous les deux vénales, sans pitié, et n´hésitent pas à attaquer.

Quelques semaines plus tard… Le 15 de juin 2008 au terme de déliberation le Jury de la cour suprême allait lescondamner. La justice a resumé que la victime avait été abattu par des inconnus, mais le mari de Maria Cécile fut jugé coupable de meurtre de l´avocat du diable. Pendant son procès pour avoir commandité le meurtre de l´avocat du diable.

Jury ; nous déclarons les accusé coupable; Elle mérite peut-être en prison pour tous les crimes qu´elle a commis, mais elle mérite une seconde chance. La lecture de ce veredict fut un véritable soulagement, une vraie satisfaction pour toute l´équipe qui a travaillé sur cette affaire.

Maria Cécile Marcondes Fagundes fut condamné à 4 ans de prison pour sa complicité. Les journaux avaient publiés : « L´arrestation de la belle Maria Cécile Marcondes Fagundes on avait hésitait entre rire ou pleurer. On croiait assez maline pour avoir fait le coup ». Son mari fut condamné aussi à 15 ans de prison pour le même crime. Son avocat avait parlé que l´affaire était basée des théories, non sur des faits. L´accusation a pu éthablie que Maria Cécile a impliqué dans la mort du avocat.

Elle l´a problablement déjà perdue. Au arriver menotée dans la penitentiaire, Maria Cécile allait entendre:

Dix

– Vos mains sur la tête. Maintenant, tourne-vous.

– Bienvenue en enfer, Voilà… Tu apprendras vite à obéir sans murmurer. dit la chefe de la discipline avec des yeux durs. Son numéro est 6278 et je veux pas votre amie, ni votre confidente. Je suis la responsable pour les détenues, je m´assure que les réglessoient respectées, ainsi que les horaires, les comptage des détenues.

– J´ai mémorisé l´immatriculation.

– T´es categorisée comme dangereuse. T´auras aucun contact avec les autres. Tu sortiras quand les autres rentreront.

– C´est bien mieux, répond Maria Cécile.

– Désabillez-vous. T´as un visage de qui cache des téléphones dans tous les trous. Je dois observer ta chatte.

– Ma chatte est super connue.

– Je me fous de ton nom à toi, détenue6278 tu sais pourquoi? Parce que je veux. Les pieds sur la ligne jaune, mains sur le mur, jambes écartées. Penchez-vous.

– Meuf, ils ont analisé ta pisse.

– Je ne suis pas enceinte.

– Des nouvellesrégles ont été instaurées. La libre circulation dans les quartiers est interdite. Plus de pause pipi ou caca dans la nuit. Il y aura une toilette dans la cellule. Vous allez apprendre le respect et la discipline, vous serez separez et surveillée, vous allez faire son boulot à l´infirmérie.

– Comment ça? Je suis pas infirmière.

– On s´en fiche. Tu nettoieras les escréments de tes camarades malades, ainsi que les vomis.

– Cellule 223. Détenue tu vas connaître ton lit.

– C´est horrible ici.

Dans ce exact moment une voix féminine sonna: « Dans 2 minutes nous fermons les cellules».  Enfermée dans cette prison, elle était d´un côté de la cellule, mais c´est seulement un détail. Dans la cellule elle est seule. La nuit elle n´imaginait pas le désert qui entoure la prison. Mais c´est lá qu´un ton de la ville se réglent. Tous ces couloirs sombres comme un désert. Les lumières sont fermées. Et tous ses problèmes entérrés dedans! Mais faut improviser presque tout. Le silence de la pièce fut remplacé par les cris dans les couloirs.

Dans la salle du directeur du lieu. Un homme black énorme observa avec attention une photo.

– Qui est elle?

– Maria Cécile Marcondes Fagundes, épouse du célébre mafieu aussi détenu. Elle fait partie des détenus lesquelles il faut se méfier.

– C´est très belle, riche et que corps, Mon Dieu. Je pense que c´est une situation qui peut s´arranger. Je la veux dans mon bureau demain matin.

– Ok. Chef…Elle est une mangeuse d´hommes. Ça t´excite, heim?

– Beaucoup, garde. Mais elle est une tueuse, sexy, puissante et célébre.

Le jour suivant… Elle s´arrête un instant devant sa porte. Le doute en elle s´est immiscé. « Puis-je faire ça? »Elle prend peur. Maria Cécile deviant fragile. Le final de les contes, c´est une prison.  Très vite elle monta et poussait la porte,  enfin dans un grincements aigu, la porte s´ ouvre doucement qui n’était fermée qu’avec un loquet et elle entrait dans le bureau.

Elle immediatement se transforme. Elle se voulaitféline… Câline… Sensuelle, ange et démon. Son besoin deséduire, de jouer avec lefeu, de s’ encanailler, a ressurgi avec fracas.Elle avait hérité de sa mère d´une chevelure blonde, d´un regard chameur aux yeux clairs et surtout d´une poitrine avantageuse qu´elle savait mettre en valeur. Elle était le rêve de tous les hommes, belle, inteligente, élégante, tout mâle à portée de regard devait avoir envie de la conquérir.

Il  regarde la belle blonde intensément depuis quelques secondes apparemment. La belle detenue  se tourne vers le black avec l’ œil brillant et un sourire diaboliquement sensuel. La Maria Cécile croisa du regard un énorme black qu´avait la même quarantaine d´années, un visage aux traits fins, mais dégageant un sentiment de puissance, des ses yeux presque aussi noirs, Monsieur Batista est un homme habillé décontracté avec goût. Plutôt grand, de larges épaules et des bras plutôt musclés qu´il doit à la pratique intense du sport avecun sourire coincé, des épaules sculpturales dans une chemise noire un peu collant.Les murs étaient dénudés et couverts, seulement par places, de lambeaux d’ un papier vulgaire. Sur une table située à peu près au milieu de cette modeste, des papiers et des livres étaient amoncelés dans le plus beau désordre.Elle aimaitla couleur habituellement. Incertaine, en toute innocence, elle chercha dans son regard ce petit chose de tellement curieux et intéressant. Elle est forte, elle peut aller jusqu’à la perception d’ une réalité éloignée du réel. Elle peut être obtenue en usant d’un rapport de pouvoir, de séduction, de suggestion, de persuasion, de soumission volontaire ou consentie. Ce pouvoir elle exerce sur la personne, une possession et un contrôle total. Elle ne pensait qu´aux sensations, les plaisirs qu´elle recherchait totalement dépendant de son besoin de contrôle.

– Aproche toi. Une detenue de l´haute societé. Ici personne sur le canapé de soie, ni piano.

– Pourquoi je suis ici?

– Qu´avez vous fait?

– Je n´avais jamais tuépersonne. Nous sommes ensembles pour hasard.

– Quelle que soit l´identité que vous êtes complice de son mari.

– Il me tarde de découvrir ce que vous faites ici. Je savais leur source exclusive de l´elite sociale.Depuis l´nstant où une personne a prit une arme et décide que sa vie valait plus que celle d´autrui; c´est un point de non retour.

– Je suis innocente. Quel portrait as-tu fais de moi?

– Ici… tous le sont… C´est une maison de gens innocentes.

– Je ferais ce que vous voulez. Vous voulez m´embrasser? C´est ça? Que je me désabille? Vous voulez me caresser? Allez y. C´est ça votre truc? Vous voulez voir plus?

– On voit bien que t´es belle. C´est bien que tu sois si déterminée.

– Je ferais tout ce que vous voulez. T´es exactement celui qu´il me faut.

Elle avait une centaine d´amis et d´ennemis. Il a dit des choses  sur elle, sur son univers avant d´entrer dans ce monde. Il faut repartir de zéro. Elle veut se donner complètement à un autre être humain. Il n´y a rien de plus merveilleux que de se laisser aller ainsi. Elle est un peu intense, obsedée sexuelle. Elle allait a peut-être une super influence sur lui.

– Un gens de bonne volonté. Pas pour réparer les torts.Laisse passer l´orage.Lavieest pleine de surprises. Tu m´impressionne. C´est que je recherche.

– Nous pouvons parler sur cela. Je n´ai plus de crème pour le visage. Personne va m´en acheter un pot. Ma peau est tout sèche.

– Demain… Prends-en un pout toi. T´as l´air différentes des autres détenues avec ton cheveux bien coiffés.

– J´ai arrangé mes cheveux avant de venir. Tu vas me rendre un immense service.

– Vous êtes ambiciose?

– Comme tout le monde. Tu veux un échange poli. C´est ça?

– J´aime me concentrer sur les problèmes de les détenues.Tu es consciencieuse. Tu es vachement intelligente et tu es une fanatique pour libertinage, comme moi. J´admire votre volonté de réussir.

– C´est une offre très hénéreuse. Je serais idiote de ne pas accepter.

Un clin d’ œil malicieux survient en même temps que son sourire ensorcelant, ses joues brûlent instantanément et ses cuisses se pressent l’ une à l’ autre. La situation semblait l’ inspirer.

– Ok… – C´  estreciproque. Alors. Tu pouvrais apporter un frigo, un petit forneau dans ma cellule, c´est claire?

Elle était loin d’être stupide, la garce, et se rendait bien compte, qu´elle peut réussir.

– Demain… Demain… Autre chose. Je peux te proteger…

– Crois pas…Une telle complicité dans une prison est rare.

– T´ es explendide. Je vois ton cou pour la première fois. Quer désir pour ce corps.

– T´ es un bel enfoiré…

– Après tout ce qui j´irais faire pour vous, j´espère que vous me donnes quelque chose en change. Considère ta chance de faire sexe avec moi.

– J´ adore une bite de noir. Tu peux me montrer? Je vais vous inicier à la luxure sauvage.

Il ne pouvait que perdre la tête.  Mais, comment résister à pareil charme? Cette beauté méchante…Unmondes’ ouvrait à ses sens. Un nouveaumonde.Elle se désabille et reste totalement nue devant le directeur Black.Assise en face de lui, elle lui offrit un joli sourire franc. Il la contemplait, médusé. Ses jambes tremblent, prises de spasmes incontrôlés. Il la mate de la tête aux pieds et elle l´ a vu une bosse augmenter de taille. Il ne pouvait que perdre la tête.  Mais, comment résister à pareil charme? Cette beauté méchante… Ses mains posées sur ses genoux, il écarta ses cuisses d’ un geste délicat. Le spectacle est irréel, une femme plus indécentequ´était nueet assiseUne offrande gratuit… Elle croise les jambes, puis les décroise, puis les écarte et les resserre. Elle a commencé de l´allumer un peu.Maria Cécile caresse sa chatte et lui rend fou de désir. Un instant elle referme les yeux. Il perçoit un léger tremblement de son oeil et elle mord la lèvre. Il ne peux rien faire.

Le black assiste à l´un des spectacles les plus érotiques, excitant qu´il connaisse. Une vague chaude de pur désir lui traverse. Il n´éprouve que des émotions et celle qui prévaut en ce moment est le désir ardent.

– Merveilleux spectacle, totalement inattendu!

Elle sentait votre regard qui la brûlait, elle aurait voulu pouvoir l´ en montrer plus.Elle frissonna. Elle lui jetait un regard provocateur avant de loucher sur son sexe. Elle a juste pu remarquer la tache de sperme sur son pantalon, alors qu´il se rhabilait et un sourire à faire fondre un iceberg m´ont permis de comprendre qu´elle était prête et d´accord pour continuer le jeu. Encouragée, elle a alors glissé la paume de sa main le long de son sexe. Elle posa ses doigts sur la verge en commençant à la caresser doucement, allant du sommet de la verge jusqu’ à la base de la hampe sur son pantalon.

– Qu´ elle ouvre d´ art… T´es bien doté, mec.Tu sais que t´as une jolie queue. Un beau sexe poilu avec sa vergue toute dure et ses couilles bien rondes.

Il fallait qu’ elle s’habitue de la taille  pour qu’elle puisse réellement apprécier.

– Et la vue est splendide. Bien entendu, ça me plaît. Vous êtes superbe… Superbe, et délicieusement sexy!

-Tu peux continuer ton petit jeu que me plais énormement.

– Je veux tabite, c´ est ça…Je veux te sentir en moi tout de suite ! Tu me fais peur.

– Je te fais peur?

– Oui. Parce que je sui une femmeobssedée par le sexe.

Elle s´approche de lui et ses bouches s’ unissent. Ses langues se mélangent, il enfonce sa langue dans sa bouche, caresse son palais, ses gencives. Avant d’attaquer la position du lotus l’infatigable amazone a dû, après s’être rendue compte de l’état lamentable du pénis de son mâle, lui faire une fellation, exercice dans lequel elle excellait. Les yeux exorbités par le désir, elle jauge l´engin l´espace d´une seconde et l´enfourne dans sa bouche elle a manifestement tout avalé, ça promet…

Aucun phallus, quel que soit son état, ne résistait à sa technique parfaite qui ajoutait aux erotiques caresses tournantes de sa langue qu’elle avait légèrement râpeuse le va et vient de ses lèvres pulpeuses et un léger maniement des bourses avec des doigts experts.

– Vas-y doucement chéri.

Cet exercice a été fructueux au point que le black s’est retrouvé à l’issue de cette somptueuse fellation avec un pénis triomphant qui lui a permis de s’accroupir, de prendre sa partenaire par la taille, l’approcher de son sexe érigé que la detenue a prestement aspiré au fond de sons vagin et attaqué un mouvement de va et vient sur un tempo rapide.Il la pénétra à fond sans effort tellement le sexe de Maria Cécile suintait et ilsjouirentensemble.

– J´aime ta bite. Plus fort, baise-moi plus fort.

Les cuisses poisseuses du sperme de son amant qui était échapé de ses reins. Ils sont maintenant couverts de sueur, ce qui rend encore plus érotiques les rencontres de ses corps .ce fut comme un feu d’ artifice, elle qui se mordait pour étouffer ses hurlements de plaisir et lui qui sentait sa tension augmenter jusqu’ au moment où son sperme gicla dans le vagin de la femme et l’ inonda en même temps que des étoiles éclataient dans ses yeux. Quelque chose avait explosé dans son cerveau comme une bombe de plusieurs mégatonnes, un éclair aveglant déchira ses orbites et il allait connu l´orgasme le plus sublime de sa vie. Le sexe d´elle avait jouissait et enserrait plus fort sa colonne de chair qui continuait à déverser toute sa semence à grandes giclées.

Lorsque ma fontaine de sperme eut cessé de couler, une lame de feu lui transperça et allait élargir son horizontsexuel. Du sperme s´étant répandu sur ses fesses et son pubis, elle s´esseie avec un mouchoir en papier.

– Tu es une véritable bombe au sexe.

–  C’est que tu m’as bien baisée.

–  Tu es magnifique.

– Tu m´as baisée magnifiquement, tu sais. J´ai joui comme une folle. Je viens de connaître l´orgasme le plus violent de toute ma vie. Je n´arrive pas à croire que j´ai réalisé mon fantasme avec toi.

– Et maintenant?

– Je désir une nuit de sommeil dans un lit énorme, sans bruit, ni luimière.

– Bien. Mais je suis ton mec de consolation.

Quelque chose avait changé… C´était seulement une question de temps de place et de dimenson. C´était si grand. Elle ne pensait quz´elle en serait capable. Elle se sentit forte, décisive, sûre d´elle-même et maîtresse de son destin. Ses sens étaient exacerbés, peut-être qu´il pensait qu´elle était une toxicomane. Elle devait mourir pour sa trahison. Elle avait besoin de quelqu´un à mouriravec elle. Il n´était loin de la vérité. Mais son penchant, c´était le sexe. Le black en s’accrochant à Maria Cécile la dépravée devenue depuis leur nuit torride sa maîtresse en perversité l’entraînant à ne penser qu’au vice de sexe et à en retirer du plaisir.. Dans la prison elle était comme un chatte en chaleur qui voulait se frotter contre quelque chose.

La justice avait proposé à Maria Cécile sa libertée totale en change de la confession des crimes de son mari. Elle que souffrait beaucoup dans une cellule de prison fait l´accord de delation compensée.Son mari franchit tous les limites. Ce n´ était pas un réglement de compte entre truands. La réalité le frappa de plein fouet.  Et ce fut le debut de la fin.

Le cerveau humain est une exercice très puissante. Le sous-estimer est généralement la dernière erreur de toute les situations. La destruiction n´est pas causée par l´inteligence. Voilà comme João Fernandes Fagundes dans sa cellule perçoit la vie, puis de la delation à justice de son épouse. Il savait que la mort arrive trop vite. Il faisait par d´un clos qu´aurait dans ses rangs que ferion quelqu´un comme lui. Que la Prense appelait de « Mafia » Il pense repense à tous les aspects de leur relation. Il essaye de comprendre de savoir où ça a merdé. Il y a un an… Ils étaient amoureux. C´est curieux la trahison. Elle avait lui dit qu´elle avait souflé 7 ans d´afreux mariage et maintenant qu´elle a les choses en mains, elle le trahi…

– T´es superbe. Je peux vous assurer n´avoir jamais rencontré de femme comme vous. Comment vas la femme fatale?

– Préoccupée… Très préoccupée… Je pouvais pas y retourner. Mon mari était en colère contre nous. Je ne peux pas mourir.

– T´as perdu le pouvoir que t´exerçait sur lui. Il fait bien faire quelque chose.

– Je ne sais pas, quittons la ville.

– Partir. Où ?

– Pas sais. Nous devrions partir.

– C´est une lourde responsabilité, ne desespérez pas. Tu ne peux fuir éternellement. Mais le pouvoir que t´as pu exercer sur moi est réel.

– Tu ne vas pas mourir, Maria Cécile! Son mari avait parlé qu´il allait la tuer à cause de sa delation. Il va ordonner sa morte. Votre maritue des gens.  Et alors? Qu´est ce que tu vas faire?

– Je ne sais pas. Impossible de prevoir. Le dois me démerder seule.

Onze

– Certaines choses peuvent être très simples. On trouveras une solution ensemble.Notre meilleur atout est un changement de scenário, chérie! Il faut que vous soyez d´accord. Je peux lui dire que je m´occupe de lui demain soir.

– Je ne veux précipiter les choses. C´est compliqué. Mais je ne veux plus vivre comme ça.

– Calme toi. On va en discutir. Vous devez répartir à zéro loin d´ici, sinon il te tuerait.

-Tu délires complètement. Je  te veux avec moi. Vous êtes un homme qui peut avoir tout ce que tu rêvais. Il n´est pas question de vos désirs, il est question de vos besoins. L´argent mon vieux. C´est le principal ingredient de la folie.

– Certaines choses peuvent être très simples. Tout ce que t´as à faire c´est être ouverte aux possibilités.

– Plus vite de tu le voir, plus simples ça sera pour tout le monde. T´as allé chasser un fantôme.

– Mon travail consiste à découvrir, Tu crois que ça me fait peur? Je veux l´avoir laissé dans le congélateur.

– C´est trop risqué. Il faut trouver une solution. Ça restera entre nous. Secret à tous avec qu´on est en train de faire. C´est là que nous entrons en scène.

La pluie continua ainsi plus de quarante minutes. C´était un vrai déluge, accompagné d´éclairs zébrant les murs de lumière et de bruyants coups de tonnerre. Il avait tenté de nouveau téléphoner, toujours sans succès.Il mettait ça sur le compte de l´orage.Elle toujours détesté la pluie. Ce jour lá pleuvait, évidement.La pluie se ralentit progressivement jusqu´à s´interrompre enfin et un rayon de soleil couchant vint lécher le plafond de la prison. Il avait marché dans un dédale carrelés et decorés dans le style mauresque.

Maria Cécile a fait une erreur, maintenant elle est triste, tout le monde croit que c´est pour la delation de son mari à justice. C´est faux de se donner complètement à un autre être humain. Elle aurait decouvri qu´il n´y a rien de plus merveilleux que de se laisser aller ainsi. Dix huits heures sont passés…Maintenant il était dans la cellule deJoão Marcondes Fagundes.

– Desolé… Son épouse pas vient. Elle ne le veut plus….

– Maria Cécileest uns salope égoiste. Comme Judah… Elle m´ a trahi…

– Tu n´avais pas prévu ça heim? T´es au courant de rien, c´est ça. Moi et ta femme Maria Cécile nous sommes amants.J´aime baiser ta femme. Je la baise tous les soirs dans sa cellule. Je n´a pas d´autre issue.

– Pourquoi que tu me dis tout ça? Quel genre de bête, vous ètes vraiment? Un conseil : rends-toi, t´as aucune chance de t´en sortir.

– Celui qui donne les ordres, c´est moi. Parce que il t a seulement deux choses à faire. Mourir ou mourir. Je suis plus malin que toi.

– C´est tout?

– Non… Nous sommes amoureux, bandit de merde que t´es… T´t´avait faitesmenace de mort à ce que j´ai de plus cher. Tu n´es rien. Tu n´existe pas, ce n´est pas qu´un cachemar.

– Ah, oui… Pour une pute. Tu sais très bien qu elle m´a trahi.

– Tu vas mourir. C´et n´est pas mon style. C´est une émotion ridicule qui me dévore comme un cancer. Elle est une expérience plus sublime de ma vie.

–  Qu´est-ce que tu vas faire ?

– Regardes-moi. Je veux te rearder dans les yeux quand je te tuerai…

Dans le couloir de la prison…

– Les mains contre le mur et les jambes écartées, criait un policier.

– Mettez lui les menottes.

– Attention… Je suis l´inspecteur Batista. Qu´est-ce que se passe?

– Un meurtre vient d´être commis. Vous avez du sang sur les mains.

– C´est legitime défense.Mettez-vous à ma place.

– Excuse-moi… T´es dingue non? C´est la dynamique du meurtre. Cet universdéshumanisé qui nous entoure. La citémonstrueuse et sans âme.

Quand s´aime quelqu´un il faut lui faire confidence. Il faut lui donner la clé  de tout qui est à lui. Pendant un temps il avait cru que cette amour-là; il l´avait les Casinos Clandestins qu´avaient le donné le paradis sur terre. Les interrogatoires durent toute la journée. Le soir il rentrait chez-lui. Qu´il ne savait jamais c´est qu´il finit de tué un chef mafieu.

De retour il la trouvahors de la prison. Il se dirige vers l´appartement de Maria Cécile.Il la voit sur le parking. Il sait qu´elle ne se doute pas qu´il était derrière elle. Elle accélère le pas. Arrivés dans le hall bien chaud de l´immeuble, il se détends un peu, puis rentre dans l´ascenseur. Quand elle lève la tête, elle aperçoit le black la regardant. Elle le salue à son tour. Elle sourit, radieuse, et se blottit contre lui en murmurant à son oreille:

– Chéri! Je suis heureuse avec sa presence. Que tu sois en vie, tu m´a tellement manqué. Maintenant, il faut que tu m´expliques ce qui tout arrivé?

– J´ai fini avec la source de tout mal.

– Je vous remercie pour tout. Il m´avait laissé aux Chacals, aux loups, aux prédateurs.

– De rien. Je vais te protéger.

– J´aurais tant de choses à te dire. La prense a publié que le roi des casinosassassiné dans la prison menaçait son ex-femme de mort.

– Oubliez- lui… On va trouver une solution, parce que tu puisse avoir une vie normal et sortir de la ville. Nos chemins avaient croisés et ensemble nous allons produire une oeuvre magnifique. On allait arranger les choses. On va pouvoir récuperer nos vies.Je renoncerais jamais à toi.

Elle appuie sur l´étage n° 12. L´ascenseur. Puis… Elle se collait à lui. La situation l´excitait, son bassin allait vers sa main. Il la voyait mordre ses lèvres.Elle voit les yeux profonds de l’ombre, elle voit son désir grandissant et cela l’enflamme. Elle a envie de le rendre fou. De se sentir désirable.

Elle avait opté pour une robe légère à bretelles de couleur rouge et de magnifiques sandales à bride et à talons très hauts. Elle l´embrasse langoureusement. Elle dévoilait ses belles épaules, le haut de son dos muslés et l´ébauche au-dessus des genoux. Ses cheveux blonds flottaient sur sa nuque et s démarche aérienne la rendaient toujours aussi désirable à ses yeux. Son parfum est délicieux, fin, léger. Il paierait sur Bleu Channel, impressionné par leur vie social et leur succès.

Dans l’ascenseur qui les mène à leur chambre, ils recommencent à se taquiner et se caresser. La robe froissée de Maria Cécile ne fait plus vraiment rempart contre les mains de son amant qui explorent fébrilement ses fesses. Il se place derrière elle pendant qu’elle ouvre la porte, essayant de la perturber en collant son sexe dressé entre ses fesses. Elle arrive enfin à ouvrir et ils entrent dans la chambre.

L´appartement est superbe, et ce qui en fait sa spécificité, ce sont ces grands miroirs en pied dans le salon et dans la chambre. Ils engagent la conversation. Sourires, éclats de rire, mains baladeuses.

– Nous avons un gros problème, Quelqu´un m´avait dit qu´a un tueur à gages afin de te tuer, chéri.

– Toi, qui est si différnte des autres femmes, ta féminilitée les rachetèras toutes dès le premier battement de tes cils. Qu´est-ce que tu rêves Maria Cécile? Maintenant vous vous pouvez rêver. Son mari est mort. Enfuyons-nous ensemble.

– Je veux juste une vie tranquille dans une ville et personne me connaît. Une vieheureuse et simple. On prend tout notre argent et on achète un restaurant sur une plage. On achète des téléphones fixes et on ne possède plus ordinateurs ou portables.

– Je suis complètement d´accord. Nous besoins de temps d´y avoir clair dans ce merdier.

– Nous devons demenager en moins de 24h. Nous pourrons sauver nos vies. C´est notre seule chance. Avec la mort de mon mari nous ne sommes pas en sûreté nulle part. Nule par où se cacher.

– Nous pourrez quitter la ville. Ça eviteras d´être vus ou attrapés.

– Combien de temps ?

– Le temps qu´il faudra. Vous n´avaz pas le choix. Ce serait bien de se débarasser de toutes les bêtes à propos de nos peurs dans ma vie, dans notre vie. Ça nous aidera.

– Pouquoi tu bois ?

– J´ai un peu trop bu… Parce que c´est ce que je fais quand mon mari a été mort.

– Ça fait bizarre de dire ça. T´étais complètement d´accord.

– Je bois parce que j´ai emmené à une prisonmenotes aux poignets. Mintenant, je suis veuve.

– Dans la vie le tout n´est pas de faire les bons choix pour avoir les bonnes choses.

La nuit est fraîche. Déjà l’ automne s’ annonce. Il est à peine dix-neuf heures et le ciel est d’ un noir d’ encre. Maria Cécile Marcondes Fagundes, une femme riche et une nouvelle personalitée. Un allié, un amoureux, un confident dans un mer d´ennemis, les défis de leur coeur en chair et en os. Tout sera éffacé… Qu´elle pas savait, c´est pour derrière de tous les casinos avait la mafie italienne. Ils vont la considérer un puteambicieuse et sans cerveau exactement son genre.

Dans un matin, Elle sourit; elle se trouve belle et sexy. son corps conserve encore la sveltesse  et la fermeté de ses vingt ans.  sombre, elle ne se contentait pas de mouler le haut de son corps. La petite robe à bretelles était assurément remarquable. D’ un rouge corps façon bustier, mais offrait également une vue vertigineuse sur le sillon de ses seins. Le décolleté était splendide et impudique à souhait et attirait à coup sûr le regard sur son 95E qui ne passait déjà pas inaperçu habituellement.L’ endroit est presque plein. Tous les regards se tourneront vers elle, certains admiratifs, d’autres dubitatifs. Seul un regard excitera  sa curiosité, son désir, leur plaisir à venir, peu importe les autres: il n’ y avait que ça, que lui qui l’ intéressait.

Les regards envieux des hommes et jaloux des femmes s’ étaient portés sur elle. Rehaussée par ses talons aiguilles qui mettaient en valeur le galbe de ses hanches et la cambrure de son dos.

Le jour suivant son portable sonna:

– Alô ! Maria Cécile.

–  Oui… Qui parle? Qui est à l´appareil

– Conseiller de la societésecrèt que tu fais part! Tu te portes vraiment mal. Ton mari l´aurait sorti de la misère. Tu soffres d´une dépression.

– Mon ex-mari… Pas moi. Misère? J´ai été architete.

– Pas fasse rire. Je veux te faire une offre. Ta vie conte l´argent et tu seras libre. Tu dois retourner tout l´argent des casinos en 24h. Si vous ne paye pas, tous les deux meurent.

– Je vois ce que je veux dire. Je n´ai pas la solution. Je veux juste qu´on me laisse tranquille.

– Il est trop tard… Tu veux le voler, tout l´argent de son mari? Tous les casinos furent reouverts, Les affairs tournent… Une vraie pluie de l´argent. Tu n´as pas besoin de ça, et vous baise avec l´assassin de son mari. Il a beaucoup des amis gangster. Tu as tort fatal deux fois. Vous êtes une parfaiteidiote. Tu te détruis. Voler la mafia et être ensemble avec l´assassin de son mari. T´es caca des égouts.

– Qui a peur de faire caca pas mange, dit Maria Célcile.

Quand la panique monte, Marie-Cécile bâtit des digues intérieures pour tenir à distance la tristesse et les forces souvent accablantes dans ses esprits dans tout ce qu´ elle fait comme, l´ amour,alcool, Elle a administrer tout ça, quand même. Quand la panique monte, elle doit faire des listes de mots associés à son environuement. Cette tecnique l´ ancre dans le monde,  pour ne pas disparaître dans sa tête.

– Tu peux raser le crâne, aller seule. Les apparences sont décevantes. Puis, le jour suivant je prend l´avion pour t´y rencontrer.

– Non… Jamais… Nous allons ensemble au Uruguay.

– Ok… C´est bien plus dangereux. C´est reglé. On grandit ou on meurt.

– Ce n´est pas la question.

Puis de faire une transférence de 80 millions de dollars à une conte particulère sur le Banque National de Montevideu avant d´embarquer au Uruguay,Batista  sort de son portefeuille deux billets d’ avion. C’ est agréable de se laisser aller. Maria-Cécile  est une femme fatale. Nymphomane, dangeureuse. Une heure plus tard,fin du chemin… Elle avait parlé de menaces qu´elle aurait réçues. Dans les toilettes:

– Sentez-vous magnanime parce qu´on respire encore.

– Il y a trop de monde dehors.

– Un instant, oui? Pourquoi? que se passe-t-il?

– Tu le savais.

– T´as volé 8 millions de dollars des casinos et de la mafia. Tu peux me dire maintenant que je veux le savoir. Pourquoi tu veux ce flic? Belle tentative, ne bouge pas, vous ne pouvez ni vous enfuir, ni vous cacher. J´ai une dette en vers vous deux, ce sont des serpents, dit un inconnu que s´approche d´eux avec une arme de feu..

– Ne sois pas si naïve. Il est un tueur. Il allait me tuer, toi aussi. Il allait nous tuer.

– La societé secrete a été traitée vous comme de la merde. Considerée comme une vulguer ordure. Et vous êtes un monstre que tue le mari et baise l´épouse, Un assassin.

– Qu´est-ce que c´est? C´est un complot terroriste? Al-Qaïda au État Islamique. Veut savoir Batiste.

– C´est la justice.

Tous les deux sont trouvés morts dans les toilettes de l´aeroport de Guarulhos avec coups de armes de feux sur ses têtes. La police les avaient trouvés comme ça. Tous les deux assassinés. Ils étaient allongés sur le carrelage devant les lavabos. Ni effraction, ni vol, ni luttes. Labelle blonde identifiée comme Maria CécileMarcondes Fagundes qu´avait un trou au milieu du visage causé par une arme à feu. L´autre était l´ inspecteur Batiste de la police penitentiaire. Un criminelsuspect de tuer le rois des casinos clandestins dans sa propre cellule; Un coup de feu en pleine tête chacun pour venger la mort du Roi des Casinos Clandestins.Il avait tenté d´échapper à une accusation pour meurtre. Ils vont donc inspecteur la toalettea la recherche de quelques preuves utiles.Cela ne signifique pas que les modes opératoires semblent identique avec les de la mafia.

Une inculpation basée sur les faits. Les enquêteurs se rendent au post de police et transmettent les résultats de leur enquête au Aeoport de Cumbica en Guarulhos. Fin de l´histoire.

Fin

Ivan Ribeiro Lagos

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